A la frontière de l’impossible

Cette première histoire nous est conté par une femme qui adore recevoir des amis et la famille pour les repas. Elle adore que sa maison soit toujours pleine (est-ce dû à ses origines italiennes ?).
Un dimanche de 1980, elle reçoit sa famille pour le déjeuner. Tout est prêt.

Après le repas, elle et ses invités décident de changer leurs habitudes. Pas de chasse au champignons ou de cartes cette fois. Ils vont essayer d’invoquer les esprits (hum… le faire pour s’amuser n’est jamais bon).

Contre toute attente, le contact se fait rapidement (en seulement 15 minutes) et surtout, ils entrent en communication avec un esprit bienveillant qui répond à leur question et semble viser juste. Enfin… Tout dépend de la personne qui pose les questions en réalité. Quand il s’agit de notre narratrice, l’entité se montre plutôt vulgaire et insultante. Celle-ci prétend être Astaroth (on repassera pour le côté bienveillant du coup…).

Mais depuis cette journée, des évènements étranges se produisent chez notre narratrice.

Nous sommes à présent en 2024 et le malheur s’est abattue sur la famille depuis cette prise de contact et surtout, les révélations du démons sur “l’avenir” se sont, pour la plupart, révélé exactes…

Personnellement, je trouve qu’importuner les esprits n’est pas un jeu. [fermer]

Cette fois, direction la Franche-Comté, dans les années 80.

Camille est une petite fille épanouie, curieuse et futée. Un jour, en rentrant de l’école seule (elle vit dans un petit village et il n’y avait pas autant de tordus  à l’époque que maintenant), elle est attirée par un écureuil qui semble paniqué. Elle l’observe longtemps. C’est donc sans surprise qu’elle se fait enguirlander par ses parents quand elle rentre à la maison. Elle a oublié d’éteindre la lumière en partant ce matin là et, vu l’état de la maison, celle-ci aurait pu prendre feu.

Les années passent. Camille est mariée et a un petit garçon, Théo. Elle et son époux ont retapé une maison et s’y sont installés quand leur fils avait 5 ans. Ce dernier prétend avoir vu un homme avec un chapeau dans la salle de bain (ça y est, ça me fait flipper). L’enfant décrit l’homme à sa mère. C’est papi Jean, son grand-père décédé depuis longtemps, que Théo n’a pas connu. La seule photo de lui qu’elle possède est dans une boîte à chaussure au-dessus d’un meuble. Son fils ne l’a jamais vue.

Quoi qu’il en soit, je ne crois pas que l’entité leur voulait du mal, bien au contraire. Quelques semaines plus tard, le couple a découvert une fuite dans la salle de bain, pile poil à l’endroit où se tenait l’homme. [fermer]

Un couple hésite sur l’achat d’une maison. Après réflexion, ils abandonnent.
Cinq mois plus tard, l’agence les recontacte pour la même maison. Les propriétaires ont baissé le prix ; c’est une aubaine, même si des travaux sont à prévoir. Cette fois, le couple fait une proposition. La maison est à eux. Ils s’y sentent heureux et en sécurité. Ils y accueillent même leur première enfant, Lily.
Mais l’homme change et devient “étrange”, s’isolant plusieurs heures dans des pièces qu’il dit rénover (sa femme a interdiction d’y mettre les pieds pour lui faire la surprise).

Oh… Trois femmes entrent dans la maison (alors que le couple et leur fille y sont). Parmi elles se trouvent une tireuse de carte (mal à l’aise) et deux sœurs. Ces dernières disent habiter les lieux depuis un an et ne voient pas le couple. Trop chelou… Est-ce que le couple est comme les fantômes dans le film “les Autres” avec Nicole Kidman ?

Ah bah c’est ça. La famille est morte deux ans plus tôt (intoxication au monoxyde de carbone). Ils veulent chasser les deux sœurs de la maison car elles sont mauvaises (une brume noire entoure leur corps).
La femme fantôme prévient alors la medium, par l’intermédiaire d’un miroir, qu’elle doit fuir la maison, ce qu’elle fait, sans se retourner (les fantômes ont confirmer ses craintes concernent ces mauvaises personnes). [fermer]

Nous sommes en 1994. Une femme est enceinte de jumeaux, et elle angoisse pour l’avenir de sa famille qui va passer de 4 à 6.

Malheureusement, elle a perdu un enfant.

A six mois de grossesse, et alors qu’elle se bat pour la vie du fils encore en elle, elle fait la rencontre de sa belle mère, qu’elle n’a jamais rencontré et qui est morte alors qu’elle était enfant. L’entité lui montre tous les endroits où son fils jouait enfant. Tout semble si réel.

Puis c’est sa sœur, décédée très jeune, qui vient lui rendre visite et lui annonce qu’elle va la rejoindre.

Oh purée ! En fait, il y a eu des complications. Elle a dû être emmenée aux urgences pour une césarienne et est tombée dans le coma pendant 1 mois !

Trop trop bizarre. [fermer]

Eh bien… Barbara a une forte intuition et c’est impressionnant. Cela lui a permis d’éviter un accident de voiture une fois, ou encore de savoir quand elle verrait des proches pour la dernière fois.
Selon elle, elle sait juste écouter quand cela s’impose à elle.

En fait, je pense qu’elle est très sensible à ce qui l’entoure. C’est d’ailleurs grâce à ça qu’elle a perçu la présence de son père quelques mois après son décès [fermer]

Cette fois, on suit les aventures d’une jeune maman. Depuis la naissance de sa fille, Emma, elle découvre ce nouveau “métier”, non sans un certain nombre d’angoisses.

Au bout de quelques mois, Emma se réveille toutes les nuits en hurlant. Toujours à la même heure. Vers 3h. Et sans raison apparente.

Inquiète et épuisée, la maman en parle à sa grand-mère. Cette dernière lui dit qu’il s’agit sans doute d’un esprit qu’Emma peut apercevoir à cause de son jeune âge et que l’entité vient la tourmenter. Pour aider son arrière petite fille, la vieille dame a donné un sachet de sel béni à mettre sous son matelas.

À partir de ce jour, Emma n’a plus jamais hurlé de terreur la nuit.

Dans cette famille, chaque enfant a, à présent, un petit sachet de sel béni sous son matelas.

Cette nouvelle me parle évidemment plus que les autres, puisqu’elle concerne ma famille. Emma, c’était moi, enfant. Depuis, ma petite sœur a eu son sachet de sel béni sous son lit et j’ai fait la même chose avec ma fille. Placebo ou réellement efficace ? Au fond, est-ce vraiment important ? [fermer]

Cette histoire se passe début novembre 2015. On y suit Charlyne, une passionnée d’arts, de dessin et de cinéma qui économise pour changer de voie et tenter de réaliser son rêve. Pour le moment, elle travaille dans un salon de coiffure en tant que prothésiste ongulaire.
Eh bien, sa patronne est plutôt cool. Elle adapte les horaires de Charlyne pour qu’elle puisse prendre des cours du soir en théâtre.

Cette fois, on est mi décembre, et on suit Julia. Oh ! Julia voit les fantômes, et l’un d’eux lui fait toujours rater son arrêt de bus pour qu’elle se rende toujours au même endroit.
Oh putain… Je crois que le fantôme qu’elle voit est celui de Charlyne. Elle est l’une des victimes de l’attentat du 13 novembre 2015, lors du concert des Eagles of Death Métal.

Wah la vache ! Le témoignage à la fin de l’histoire me glace le sang. J’avoue que c’est un don que je détesterai avoir également. [fermer]

On assiste à un échange téléphonique entre deux adolescentes. L’une d’elle a discuté avec un médecin à la salle de sport. Ce dernier lui a raconté quelques expériences de mort imminente (EMI), relatées par ses patients. Mais l’histoire la plus troublante concerne celle d’un jeune garçon soigné par une guérisseuse. Je trouve ça toujours incroyable. [fermer]

C’est l’heure de l’histoire du soir pour Julie et Emma. Madame Martin, leur mère, leur raconte l’histoire de Jeanne.

Jeanne a été mariée à Gilbert, un homme qu’elle ne connaissait pas, mais cela se faisait à cette époque. Heureusement pour eux, ils se sont plus et surtout, Gilbert, malgré son passé de soldat durant la Seconde Guerre Mondiale, se montrait doux, attentionné et très amoureux de sa femme qui est rapidement tombé sous son charme.

Ohhh Jeanne est une coupeuse de feu ! Un soir, Gilbert rentre à la maison avant un enfant hurlant de douleur et sa maman. Le petit a reçu de l’eau bouillante sur le bras. Sans réfléchir, Jeanne frôle le bras du petit et aussitôt, la douleur disparaît…

Jeanne était la grand-mère de madame Martin. Elle a transmis son don à l’une de ses petites filles, l’une des sœurs de madame Martin.

Cette histoire, c’est mon histoire, et j’aime beaucoup ce que Véro-Lyse en a fait 🙂 [fermer]

L’histoire nous est racontée par quelqu’un qui vit dans une famille très chrétienne. Cette personne adore les livres et films d’horreur. Elle s’est régalée avec le film l’Exorciste.

Une fois à la fac, la jeune femme décide de tenter l’expérience de la planche Ouija avec des amies de sa meilleure amie. Cela dit, le cadre n’est pas commun : dans un bar, en plein jour, avec d’autres personnes autour d’elles en train de boire un verre.

Quand enfin, durant la séance, elles tombent sur un esprit coopératif, ce dernier répond à sa question. Comment les gens la trouvent-elles ? La réponse la détruit. Moche. La séance prend fin immédiatement. Avec plusieurs réponses justes de la part de l’esprit, la narratrice prend ça pour argent comptant. Il y a de quoi briser sa confiance en elle, surtout qu’elle semble vraiment prendre ça pour une vérité.

La personne qui a fait ce témoignage reste sceptique. Est-ce une farce de ses amies ? Est-ce que sa présence (en tant que catholique) gênait l’entité ? Est-ce inconsciemment elle qui a fait bouger le verre, étant donné que le mot moche est apparu immédiatement dans son esprit quand elle a posé la question ? Quoi qu’il en soit, elle n’a jamais retenté l’expérience. [fermer]

Wah ! L’histoire de Laëticia fait flipper, même si elle semble l’avoir bien vécu.

Et j’adore l’histoire de Véronique. J’aime l’interprétation qu’elle a faite de l’événement 🙂 [fermer]