/!\ Ce tome est le troisième de la saga. Dans la suite de cette chronique, il y a donc de forte chance pour que je parle de choses qui se sont passées dans les tomes précédents dont tu peux lire mes avis ici.
Si tu n’as pas lu les tomes précédents ou si tu ne les as pas finis, ne poursuis pas la lecture de cet article
Date de parution : 1959
Construite par un riche industriel au XIXe siècle, Hill House est une monstruosité architecturale, labyrinthique et ténébreuse, qui n’est plus habitée par ses propriétaires. On la dit hantée. Fasciné par les phénomènes paranormaux, le docteur Montague veut mener une enquête et sélectionne des sujets susceptibles de réagir au surnaturel. C’est ainsi qu’Eleanor arrive à Hill House avec ses compagnons. L’expérience peut commencer. Mais derrière les murs biscornus, les fantômes de la maison veillent et les cauchemars se profilent…
Le titre original de ce livre est “The Haunting of Hill House“… Ca te donne une idée de la raison pour laquelle j’ai eu envie de le lire ? :p J’ai beaucoup aimé l’adaptation en série par Netflix, du coup, j’ai eu envie de me plonger dans ce livre. Eh bien, figure toi que dès le début, l’histoire m’a fait penser à un film que j’ai beaucoup aimé : Hantise. Bim Bam Boom ! Il s’avère que ce film est aussi une adaptation du livre ! Je sens que ça va me plaire.
Le Dr Montague veut publier un livre sur les effets para-psychologiques que peuvent provoquer une maison hantée sur une personne. Il a entendu dire que des phénomènes paranormaux ont lieu à Hill House depuis 80 ans, d’ailleurs la maison est dite « hantée » depuis des années.
Le docteur décide donc de mener une expérience : il invite 2 personnes qui ont, d’après ses recherches, un lien avec le paranormal ainsi qu’un membre de la famille propriétaire de la maison (les proprios n’arrivent pas à y habiter, ils l’ont mise en location) à y passer plusieurs semaines durant l’été.
Ici j’ai l’impression qu’on est dans une sorte de prologue.
On commence l’histoire avec Eléonore Vances, 32 ans. Elle est célibataire et ne semble pas avoir d’amis. En effet, elle a passé sa vie d’adulte à s’occuper de sa mère infirme qui avait l’air d’une femme horrible : elle ne lui faisait que remarques et reproches. Nell est une jeune femme timide, réservée et peu sûre d’elle.
La seconde invitée est Théodora. Elle est totalement à l’opposé d’Éléonore en termes de caractère. Et, d’après ce qu’on comprend, elle semble avoir un don : une forte intuition.
Enfin, la maison recevra également Luke Sanderson qui est le neveu de la propriétaire de Hill house (le futur héritier de la maison). Il est décrit comme un voleur et un menteur.
Allez, ça commence. On se retrouve au beau milieu d’un dialogue entre Eléonore, sa sœur Carrie et son beau frère. J’avoue que c’est un échange peu relou : on a l’impression que les 2 prennent Eléonore pour une débile. En fait, ils se prennent tous les 3 le chou pour une voiture qui appartient à 50/50 aux 2 femmes et que Nell veut utiliser pour se rendre à Hill House. Comme personne ne veut céder, elle va la voler. En se rendant sur le parking, elle bouscule une vieille femme et fait tomber ses provisions. On découvre tout de suite la gentillesse et le dévouement d’Éléonore pour les autres.
Fiou, ça y est. Eléonore prend la route vers Hill House. Ici, on se retrouve avec un long chapitre que je trouve inutile (je passais mon temps à bailler..). Cela dit, il nous apprend qu’Eléonore est une rêveuse. Mine de rien, elle a une forte âme d’enfants en elle je trouve. Oui c’est ça : elle voit le monde au travers les yeux d’un enfant : tout semble beau pour elle, tout raconte une histoire .
Elle poursuit sa route vers Hill House, fait une halte dans la ville voisine (où, sur les recommandations du Docteur, elle n’indique à personne ce qu’elle fait ici), puis finit son chemin. La fin de route est extrêmement pourrie (toute cabossé, comme si on voulait dissuader les gens d’aller vers la maison). Elle arrive devant une grande grille fermée par un cadenas et une chaîne (oh ! Chouette l’accueil…). Personne d’autre n’est encore arrivée, elle est la première sur place. Elle est « accueillie » à la grille par le concierge, Dudley qui lui demande à plusieurs reprises si elle est sûre de vouloir aller à Hill House, si elle connaît « l’histoire » de la maison. Il semble insister sur le fait que des choses étranges se passent dans la maison à la tombée de la nuit et précise que sa femme et lui n’y restent jamais le soir.
Quand Eléonore arrive devant la maison, elle dit ceci : « Hill House est abominable. Malsaine. Morbide« . Elle ressent tout ça rien qu’à la façade… chouette séjour… Le lieu respire le mal, la haine, le désespoir.
Nell frappe à la porte et est accueillie par Mme Dudley qui la conduit à sa chambre. Dans la maison, c’est le silence complet. L’ambiance est pesante.
Eléonore sera logée dans la chambre bleue qui est vieillotte et pas vraiment accueillante. La Gouvernante lui explique comment se déroule la vie à Hill House (elle semble avoir un planning bien précis qui ne laisse pas la place aux imprévus) : elle dépose le repas sur la desserte à 18h puis elle quitte la maison a la tombée de la nuit et elle débarrasse le dîner le lendemain. Mme Dudley insiste sur le fait qu’il n’y a personne a moins de 6 miles de la maison la nuit : personne ne pourra les entendre ou leur venir en aide. J’avoue que vue la façon dont elle insiste sur ce point on se pose des questions.
La maison est immense, pleine de couloirs, de salles, de portes (qui ne restent jamais ouvertes).
Peu de temps après l’installation de Nell, Théodora arrive à son tour dans la maison. Mme Dudley l’installe dans la chambre verte qui est communicante par la salle de bain avec celle d’Eléonore. Mme Dudley lui redit mot pour mot le même discours que quelques minutes plus tôt. Trop chelou.
Bon par contre, il y a un truc qui me soule. Les 2 nana ne se connaissent ni d’Ève ni d’Adam et elles sont décrites comme des opposés. Cela dit, a peine ce sont elles rencontres que ça match et qu’elles deviennent limite meilleure amie… je trouve ça « facile » et gnangnan…
En tout cas, je trouve que l’histoire commence à avoir un peu de peps. J’en avais marre des descriptions à rallonge. J’espère qu’on va enfin entrer dans le vif du sujet.
Les 2 « amies » partent faire le tour du jardin. A leur retour, la nuit est tombée. Luke et le Dr Montague les attendent. Il font connaissance. Les 3 assistants veulent savoir ce qu’il font là et pourquoi la maison a la réputation qu’elle a.
Le docteur parle de la maison comme si c’était une personne. Il dit qu’elle n’a accepté aucun habitant depuis une vingtaine d’années. Tous les locataires qui y sont passés ces dernières années n’y sont restés que quelques jours. Quand le docteur les a contactés pour savoir ce qu’il s’était passé à Hill House, tous lui ont conseillé de se tenir éloigné de la maison (même si le mal être ressenti ici est dissipé dès lors qu’on quitte l’endroit, et c’est limite si on n’oublie pas tout ce qu’il s’est passé…).
Depuis la construction du manoir, au moins 4 morts y ont été recensés :
Voilà plusieurs années que la maison est “seule” (personne n’y séjourne plus depuis quelques jours) et qu’elle “attend”. Pour le docteur, le mal est dans la maison…
Une phrase revient sans cesse dans le bouquin : “Les voyages s’achèvent entre les bras des amants réunis” ; est-ce qu’elle a une importance ?
Tout au long du livre, il y a beaucoup de dialogues mais ce n’est pas toujours facile de savoir ce qui est dit de ce qui est pensé (pour le coup, c’est peut être à cause de la mise en page de ma version de ebook).
Première nuit. Rien de particulier ne se passe.
Le lendemain matin, toute l’équipe fait le tour de la maison, pièce par pièce, en laissant les portes ouvertes pour faire entrer de la lumière (et aérer un peu, ça sent parfois le renfermé dans la maison) et retrouver plus facilement leur chemin.
Alors qu’ils visitent la maison, ils s’arrête devant la bibliothèque et vont y jeter un oeil, sauf Eléonore qui est incapable d’y entrer. En effet, la bibliothèque se trouve dans la tour où se serait pendant la dame de compagnie de la fille aînée.
Plus ils font le tour de la maison, et plus ils se rendent compte que celle-ci à vraiment une architecture particulière : rien n’est droit, rien n’est carré. Les marches de l’escaliers ne sont pas vraiment parallèles au sol… Bref, dès la construction de la maison, il y avait un truc qui clochait.
Au fond de moi, j’ai l’impression que Luke et Théodora se draguent et que cette dernière s’amuse avec Eléonore en abusant de sa naïveté.
Concernant le docteur, il sait beaucoup de choses sur la maison, mais ne les dévoile qu’au fur et à mesure, en choisissant avec précaution ce qu’il raconte. Est ce qu’il cherche à les manipuler ?
Pendant qu’elle lui fait les ongles des pieds, Théodora dit à Eléonore qu’elle a le pressentiment qu’elle ferait mieux de rentrer chez elle.
Eléonore n’est-elle pas à sa place dans la maison ? Trop fragile pour l’expérience ?
Toujours dans le but de connaître un peu mieux la maison, l’équipe continue sa visite en s’attaquant à l’étage cette fois. Quand ils franchissent le seuil de la porte de la nursery au bout du couloir, un courant d’air froid, glaçant les traverse. Comment est-ce possible alors que toutes les fenêtres et portes sont closes ? Evidemment, le docteur a une explication scientifique que je n’ai pas retenue 😀
Deuxième nuit. Eléonore est réveillée en sursaut par Théodora qui l’appelle. Dans la chambre de celle-ci, il fait un froid glacial.Dans le couloir, les 2 jeunes femmes entendent du bruit, comme des « bang » qui frappent sur les portes les unes après les autres. Arrivée à la leur, le “truc” s’acharne dessus, comme s’il voulait rentrer.
Évidemment, parce que j’aime faire durer le suspens et arrêter quand il le faut, c’est pile à ce moment que je décide d’éteindre la lumière pour dormir (en réalité, mes yeux me piquaient trop et l’heure défilait). Mine de rien ça me fait un peu flipper cette histoire.
Retour dans le livre. Luke et le Dr Montague étaient sortis dans jardin à la poursuite de quelque chose qui ressemblait à un chien (c’est le docteur qui l’avait aperçu dans le couloir (comment est-il entré alors que tout était fermé ?)). Cela dit, ils ont perdu sa trace une fois à l’extérieur de la maison. C’est d’ailleurs une fois qu’ils étaient dehors que le bruit à commencé mais eux n’ont rien entendu ; ce qui a retenu leur attention ce sont les cris des filles, pas les boom.
La conclusion du docteur est simple : quelqu’un ou quelque chose a essayé de les séparer. Pour les faire flipper encore plus, Eléonore ajoute que la chose derrière la porte cherchait à les dévorer pour qu’elles soient intégrées à son corps, qu’elles fassent partie de la maison.
Le lendemain après le petit-déjeuner, Luka va voir Mme Dudley. A son retour, il remarque une écriture sur le lambris : « au secours, Eléonore, reviens à la maison« . Qui a écrit le message ? Pourquoi ? Ses camarades se moquent-ils d’elle ? Eléonore se lance-t-elle un message ? Est-ce que c’est La maison elle-même qui essaie de l’interpeller ?
Je connais le film et l’histoire du coup, je sais normalement ce dont il s’agit. Mais tout au long de ma lecture, j’essaie d’oublier le film.
Quoi qu’il en soit, alors que le début me paraissait long, maintenant, j’ai du mal à décrocher du livre.
Une journée et une nuit s’écoulent sans qu’aucun autre phénomène ne se produise.
Nous voici à présent le 3e jour, en début d’après-midi. L’équipe a pris l’habitude de faire une sieste après le déjeuner. Les Filles retournent à leur chambre respective pour se détendre. Au-dessus du lit de Théodora, la même phrase que celle du couloir a été écrite en rouge (du sang ?). Les vêtements de Théodora sont fichus. La voilà contrainte de partager la chambre et les vêtements d’Éléonore
Thoédora pense que Nell est coupable et, de colère, elle lui a dit des choses horribles. On sent que le lien entre elles est en train de se briser du côté d’Eléonore : elle supporte de moins en moins Théo.
Parfois Eléonore bavarde et se perd dans ses pensées à voix haute. Quand elle « reprend conscience », elle a oublié ce qu’elle a dit. Ça lui arrive assez souvent depuis leur arrivée apparemment. Est-ce que son inconscient essaie de faire passer un message ?
Dans le courant de la nuit, un froid glacial apparaît dans la chambre que les 2 jeunes femmes partagent et elles sont plongées dans l’obscurité. De l’autre côté de la salle de bain, dans la chambre de Théodora, on entend des voix alors que la porte a été verrouillée de l’intérieur..
Eléonore et Théodora sont plongées dans l’obscurité et se tiennent la main. Eléonore ne peut pas parler. Elle entend les pleurs d’un enfant qui dit qu’on lui fait du mal. Elle ne supporte pas qu’on s’en prenne à un enfant. Luttant de toutes ses forces, elle arrive à hurler « assez ».
D’un coup, tout change ! La pièce n’est plus plongée dans le noir (la lampe est allumée comme elles l’avaient laissée) et Théo est allongée dans son lit. Nell a-t-elle imaginé ce qu’il s’est passé ? Sinon, à qui était la main qu’elle tenait ?
Alors que je m’attendais à ce qu’ils échangent autour de cet événement, eh bien en fait, on n’en reparle pas du tout de tout le livre.
Luke découvre dans la bibliothèque un livre de préceptes que Hugues Crain lui-même a écrit pour sa fille. Il était vraiment tordu celui-là…
Se supportant de moins en moins (je pense que le H24 avec des étrangers dans un lieu flippant + le fait que Luke semble jouer avec chacune d’elles), Eléonore et Théodora se disputent et sortent de la maison en pleine nuit. Elles sont “guidées” sur un sentier qui les mènent vers un pique-nique avec des enfants et leurs parents, un chien, etc. D’un coup, Théo dit à Eléonore de ne pas se retourner et de courir. Elles s’enfuient en essayant de retrouver le chemin de la maison. De retour à Hill House, elles sont secouées. Eléonore raconte qu’il y avait un pique-nique des enfants. Théo dit qu’elle a regardé derrière elle. On ne sait pas ce qu’elle a vu et d’ailleurs on n’en saura pas plus.
Samedi en début de soirée, la femme de John (le dr Montague) arrive avec Arthur, un enseignant. Ils sont détestables tous les 2. Elle n’arrête pas de donner des ordres et de rabaisser les gens. Elle veut dormir dans la chambre la plus hantée. Ça sera la nursery.
Ils font tous les deux une séance de planchette (une sorte de ouija). Pour elle, le docteur et sa bande n’ont rien fait depuis leur arrivée, il est temps que ça bouge. D’ailleurs, Planchette a été coopérative et bavarde. Mme Montague et Arthur ont reçu un message de quelqu’un disant s’appeler Nell et qui voulait retourner à sa maison. Quand il lui ont demandé “pourquoi” l’entité a répondu “mère”. Ensuite, elle répétait “maison”, “mère”, “enfant”, “perdue”. Pas vraiment de sens pour le coup…
Luke, Théo, Nell et le docteur sont tous dans la même chambre, et on peut dire que cette nuit a été une nuit de folie. La maison a pété un câble : retour des coups dans le couloirs, la maison bougeait dans tous les sens comme si elle allait s’effondrer. D’après Théodora, « Hill House est allée au bal« . Pendant ce phénomène, Nell a dit qu’elle « arrivait » au responsable du bruit. Je crois que la maison l’appelle…
De leur côté, à l’autre bout du couloir, dans la nursery, Mme Montague et Arthur n’ont absolument rien entendu… trop chelou’ est-ce que ça s’est réellement passé ? Est que, comme on suit principalement Eléonore, tout est dans sa tête et on ne fait qu’interpréter dans ce sens les paroles de ces 3 compagnons ? Je doute maintenant…
Je déteste l’attitude de Théodora et de Luke lors de la balade qu’ils font avec Nell près du ruisseau. Ils se moquent ouvertement d’elle, dans son dos. D’ailleurs, alors qu’ils étaient censés la suivre jusqu’au bout de la rivière, cette dernière fait « une rencontre« . Quelqu’un l’a appelé et l’a serré dans ses bras avant de traverser le ruisseau et de grimper la colline. Elle ne voyait que ses pas… Qu’est ce que c’était ? Réel ou le fruit de son imagination ?
Eléonore observe en cachette Luke et Théodora. Luke se demande comment sera le livre du docteur et comment ils y seront représentés. Ils évoquent tout le monde, sauf Nell. De retour à la maison, elle écoute derrière la porte John et Arthur parler. Ce dernier s’ennuie et se demande où sont les autres. Le docteur lui dit ce que chacun fait mais n’évoque pas du tout Eléonore…
C’est comme si elle n’existait pas, comme si elle était invisible, comme si elle faisait partie des meubles de la maison en fait.
D’ailleurs, on apprend qu’Eléonore est de plus en plus connectée à la maison : elle perçoit tout ce qui se passe, les bruits, les mouvements, les présences, sauf dans la tour de la bibliothèque.
Alors qu’ils sont tous rassemblés dans le boudoir, Eléonore sent la présence de quelqu’un qui fait les 100 pas dans la pièce et entend la voix d’un enfant fredonner une chanson. Puis elle sent comme une caresse sur sa joue. Personne d’autre n’a remarqué ou entendu.
Dans la nuit, Eléonore est attirée vers bibliothèque mais est incapable d’y entrer. Elle appelle sa mère et une voix lui répond. La suite ? Eh bien…C’est compliqué. On dirait qu’elle est possédée et pourtant elle semble consciente de ce qu’elle fait. Quand tout le monde la retrouve (après l’avoir cherché un moment dans toute la maison et aux alentours), elle est montée tout en haut du fragile escaliers de fer de la tour dans laquelle elle était incapable de rentrer ! Luke risque sa vie pour l’aider à descendre.
Le lendemain matin au petit dej, personne ne reparle de l’incident , tout semble « normal ». Mais ils n’ont pas oublié. Tous ont décidé de renvoyer Nell chez elle, mais cette dernière refuse de quitter la maison où elle se sent enfin chez elle. Voilà une semaine qu’ils sont arrivés et Eléonore semble trop sensible à la maison. Pour sa sécurité, il est préférable qu’elle s’en aille.
Ils la forcent à monter en voiture pour rentrer chez elle. Une fois encore, elle semble possédée et envoie sa voiture dans un arbre. Juste avant l’impact, on a vraiment l’impression qu’elle n’était pas maîtresse de ses actes, comme pour l’escalier dans la tour… Elle se demande pourquoi personne n’essaie de l’arrêter, pourquoi personne ne vient l’aider.
A la fin du livre, c’est comme si Nell n’avait jamais existé. Tous retournent à leur vie, et l’article préliminaire du docteur Montague a tellement eu un mauvais accueil qu’il a laissé tomber son idée du livre.
Hill House est décrite à la fin du livre comme elle l’est au début : malsaine…
Le début du livre est long et j’ai eu du mal à me mettre dedans. Cela dit, dès lors que l’on arrive à la maison, ça bouge et là on est plongé dedans.
Le livre m’a parfois fait flipper (et j’étais bien contente de ne pas dormir seule) et parfois, j’ai eu du mal à comprendre ce qu’il se passait.
La Maison Hantée a été adapté en film avec Hantise qui est un film que j’ai beaucoup aimé et le livre m’a donné envie de le revoir. D’ailleurs j’ai l’impression que le film est mieux que le livre. Cela dit j’ai passé un bon moment à lire ce livre et je m’y plongeais avec plaisir et pas par obligation :p
©2020-2024 Les Lectures de Miettes
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