/!\ Ce tome est le second de la saga. Dans la suite de cette chronique, il y a donc de forte chance pour que je parle de choses qui se sont passées dans le tome précédent dont tu peux lire mon avis ici.
Si tu n’as pas lu les tomes précédents ou si tu ne les as pas finis, ne poursuis pas la lecture de cet article
Date de parution : Juillet 2023
Un cosy mystery pétillant au Grand Siècle !
Le printemps arrive, et avec lui, la saison des mondanités. Louise Galtier compte bien trouver un fiancé cette année. Pour ce faire, elle entraîne sa sœur Joséphine à la recherche de nouvelles tenues.
Las ! Le tailleur est découvert assassiné dans son atelier, une paire de ciseaux plantée dans le dos…
Ravie de cette distraction, Joséphine entreprend d’identifier le coupable. Et quel illustre gentilhomme retrouve-t-on parmi les nombreux clients du défunt ? Nul autre qu’un certain comte, qui voit d’un très mauvais œil que la jeune fille se mêle encore d’une affaire qui ne la concerne pas.
Mais en fouillant dans les effets du tailleur, elle dévoile des secrets inavouables, qui pourraient bien avoir coûté la vie du malheureux… et mettre en péril la sienne.
Une nouvelle enquête de la demoiselle et du mousquetaire, un cosy mystery drôle et rythmé sous le règne de Louis XIV !
J’avais beaucoup aimé l’ambiance et la relation entre les personnages dans le premier tome. J’ai découvert une autre facette de Jérôme de Faulcon de Montessand dans le préquel de la saga. C’est donc “normal” que je lise ce livre dès sa sortie 😁
Ce livre se déroule trois semaines après les événements du premier tome 🙂
J’aime la façon dont Sophie nous rappelle ce qu’il s’est passé dans le livre précédent. C’est complètement intégré à l’histoire et ça n’est pas indigeste (comme ça peut parfois l’être quand tu as des paragraphes et des paragraphes pour te rafraîchir la mémoire).
Les voilà donc tous les trois dans l’atelier d’un prestigieux tailleur de Paris, Arthur Armenoix.
Tiens tiens tiens. Qui vient récupérer une commande pour son maître ? Le valet de monsieur de Faulcon de Montessand 😁 Joséphine va bientôt entendre de nouveau parler de son mousquetaire. Étant donné que le vêtement n’est pas prêt, l’homme est mécontent et exige de parler à Monsieur Armenoix. Le vendeur accède à sa requête mais revient en panique et se dirige vers Henri. J’imagine qu’il informe le médecin que le tailleur est mort car monsieur Gautier se lève précipitamment et le suit. Joséphine leur emboîte le pas.
Le couturier a été poignardé dans le dos, en témoigne la paire de ciseaux plantée entre ses omoplates. Joséphine s’approche du corps pour l’examiner. Étant donné l’état de son dos, l’assassin s’est un peu acharné.
D’après l’employé, Arthur, qui vivait au-dessus de son bureau, y était depuis le matin. Il n’a reçu aucune visite officielle mais l’employé affirme avoir vu vue une femme sortir par la porte arrière de la boutique.
Le vendeur ne sait pas à quoi la femme ressemble, cependant, il sait décrire parfaitement ce qu’elle portait 😅
Oh… Le couturier tenait un étrange registre. Et s’il était prêteur sur gage ou un truc du genre (ça existait à cette époque) ?
Autant dans le premier tome j’avais déjà des suspects, autant là, je sèche complètement. Le meurtre a eu lieu avant qu’on ne rencontre qui que ce soit de nouveau.
Quand les policiers arrivent et enquêtent à l’étage, Joséphine en profite pour se faufiler à l’atelier où les employés comme les apprentis continuent le travail comme si rien ne s’était passé.
On apprend alors que c’est le frère d’Arthur Armenoix qui va reprendre le flambeau de l’entreprise. Par contre, impossible qu’il soit le coupable : Baptiste se retrouve actuellement aux Indes (si ça s’trouve c’est l’employé d’accueil, celui qui a trouvé le corps qui est le coupable ; après tout, il a bien insisté sur le fait que le tailleur était indisponible et sa réaction est peut-être juste une mise en scène pour ne pas porter l’attention sur lui).
L’un des apprentis avoue à Joséphine que ce matin, vers neuf heures, il était allé proposer un chocolat chaud à Arthur comme il le faisait tous les jours. Sauf que ce matin, son patron n’a pas ouvert sa porte et a refusé la boisson. Est-ce que la femme était encore dans son bureau ?
Deux Précieuses qui se délectent de la situation confient à Joséphine qu’une semaine plus tôt, le vicomte de Chasnet est venu à la boutique, fou de rage, et a ordonné à Arthur d’arrêter de se mêler d’affaires qui ne le concernent pas.
Quand Joséphine explique aux deux sergents ce qu’elle a découvert, ceux-ci ne la croient pas et s’en fichent. Alors, la jeune femme décide de mener l’enquête elle-même.
Oh la la attend un peu… Joséphine a pu retourner dans le bureau et enquêter. Elle découvre dans l’un des tiroirs une correspondance avec une certaine Catherine de Lénoncourt. J’ai l’impression qu’elle lui demande de mener une sorte d’enquête. Et ce n’est pas la seule lettre de ce type.
Catherine de Lénoncourt est une auteure qui a publié un essai sur la condition féminine. Joséphine décide de lire ses écrits. D’ailleurs, elle est plongée dans sa lecture quand le comte lui rend visite chez elle.
Rho bon sang ! Je suis tout excitée à l’idée de leur retrouvailles ^^ (je crois que je suis dans le même état que Francine, la dame de chambre de Joséphine 😁).
La jeune femme partage avec Jérôme ses remarques et pistes concernant l’enquête. Le mousquetaire lui propose de l’accompagner à un goûter dans deux jours. Elle pourra ainsi rencontrer quelques-uns de ses suspects.
C’est donc accompagnée de son père et de sa sœur qu’elle se rend chez Isabelle de Mison (l’une des mystérieuses correspondances d’Arthur). Pour Louise, le comte s’intéresse vraiment à sa sœur et, en l’invitant à ce goûter, il fait d’elle une fréquentation officielle. D’ailleurs, Jérôme se montre particulièrement charmant avec Henri. Rho… Il s’intéresse vraiment à elle, non ? Il ne fait pas juste ça pour l’enquête ou pour s’amuser ?
Eh bien… Isabelle de Mison et le comte semble être deux vieux amis très (trop) proches.
Durant le goûter, Joséphine fait la rencontre de Catherine de Lénoncourt qui est intriguée par Monsieur Galtier (on a mis en avant le fait qu’il soit élégant et veuf depuis un moment, est-ce qu’un love interest va pointer le bout de son nez ?).
Oh bah ça alors. Vincent de Chasnet, l’un des suspects en haut de la liste de Joséphine, vient d’inviter sa sœur à une partie de mail.
Déjà dans le tome précédent j’avais noté que c’était une époque qui ne me plaisait pas étant donné la façon dont étaient traitées les femmes, mais cette fois, c’est la différence de castes sociales et le comportement des nobles qui m’énervent 😁
Les gens payaient Arthur Armenoix pour qu’il mène des enquêtes. Madame de Mison lui avait demandé d’enquêter sur son époux et monsieur d’Esquinet.
Une piste se dessine : la sœur de Monsieur de Chasnet, Éléonore, doit épouser un homme qui lui donnera le titre adéquat pour sa famille. Cependant, il y a des rumeurs qui circulent sur le fait que la jeune femme aurait une liaison avec un poète et écrivain du nom de Rinsay. Armenoix enquêtait donc sur cette rumeur. Est-ce qu’Éléonore ou son frère l’aurait tué pour protéger la réputation de la jeune femme et l’avenir de la famille ?
J’espère que Vincent de Chasnet n’est pas coupable du meutre parce que le courant semble bien passer entre lui et Louise. J’avoue que ça me ferait mal au cœur pour elle si ça capotait.
Bon bah, il semble bel et bien exister une aventure entre Éléonore de Chasnet et Eugène Rinsay. Ce dernier l’avoue à Vincent, ce qui le met en rage et une bagarre éclate entre eux au beau milieu de la fête. Quand Joséphine tente de les séparer, elle récolte un coup de poing au visage, rendant le comte de Faulcon de Montessand furieux. Il les envoie tous deux au sol d’un coup de poing et s’empresse de prendre soin de la demoiselle (il craque pour elle ☺️).
Le mousquetaire décide qu’il est préférable de rentrer pour que Joséphine se repose. Madame de Lénoncourt invite la jeune femme à venir discuter avec elle à son hôtel le lendemain. Jo accepte en précisant que le comte l’accompagnera (bon bah, tout le monde va penser qu’il se passe vraiment un truc entre eux : il l’invite, prend soin d’elle après la rixe et se montre protecteur et surtout, il ne l’a lâche pas d’une semelle ☺️).
Le lendemain, Vincent de Chasnet vient s’excuser auprès de Joséphine. Cette dernière en profite pour l’interroger. On découvre que c’est la mère de monsieur de Challant (le fiancé d’Éléonore) qui a demandé cette enquête. Thérèse voulait avoir des preuves pour faire annuler le mariage qu’elle ne considère pas avantageux pour son fils (la famille de Chasnet étant socialement inférieure à la sienne).
Peu de temps après, Joséphine et le comte se rendent chez Catherine. Celle-ci avait engagé Arthur Armenoix pour qu’il enquête sur un vendeur d’opium. Son mari en était dépendant et il a fait une overdose. Elle veut savoir qui est la personne qui lui a vendu ce poison. Le tailleur devait rencontrer madame de Lénoncourt le jour de sa mort. Est-ce le trafiquant qui l’a assasiné pour préserver son identité ? Ça me paraît cependant trop simple, mais si c’est réellement ça, je penche pour l’une des comédiennes.
Un nouveau suspect entre en ligne de mire : monsieur de Hamoir. Son cousin avait engagé Arthur pour enquêter sur une histoire de succession. Antoine de Hamoir aurait pu tuer le tailleur pour préserver son titre et son héritage. Le Mousquetaire et Joséphine vont donc l’interroger le lendemain. Cependant Antoine ne supportant pas les femmes trop curieuse, la fille de médecin a dû se grimer en homme, en aide de camps du mousquetaire 😁
Rho dis donc, Jérôme abuse un peu, non ? Il donne tout son bazar au “cadet Le Guillat” et s’amuse de le voir chanceler sous le poids de l’attirail.
Oh ! Il semblerait qu’Armenoix voyait beaucoup la comédienne Apolline Dumareil.
Oh (bis) ! Heureusement que Joséphine était là. Grâce à un tableau et une correspondance qu’elle avait vu chez le tailleur le jour de sa mort, elle comprend qu’Antoine n’est pas le fils légitime des de Hamoir : sa mère avait eu une aventure. Son cousin a donc toutes les raisons de croire qu’il ne mérite ni le titre ni l’héritage.
Rho bon sang. Jérôme cache un truc à Joséphine. Mais quoi ? Est-ce qu’il va devoir quitter la capitale ?
Ahhh ! Mais je pense qu’il voulait l’inviter à un bal masqué 😁 Du coup, il lui envoie un paquet avec une robe sublime. D’ailleurs, Louise va également aller à ce bal, accompagnée de Vincent de Chasnet. Elles sont allées chez un autre tailleur et Joséphine a découvert qui était la femme qui est partie en route discrétion de chez Arthur : Éléonore de Chasnet.
Bon bah je suis sous le charme du mousquetaire moi aussi… Les voilà tous deux costumés en Renart et Hermeline. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais pour moi, les intentions du comte vis à vis de Joséphine sont plutôt claires ☺️
Tous deux continuent de mener l’enquête sous couvert de leur costume (personne ne sait qui ils sont). Et je dois dire que tous les invités qu’ils interrogent sur le meutre ont un coupable différent en tête (ça va être simple tout ça 😁).
Est-ce que ça pourrait être madame de Lénoncourt ? Apparemment, son mari l’a maltraitée et des rumeurs circulent qu’elle l’aurait assassinée (je n’y crois pas une seule seconde).
Joséphine fait régulièrement un petit état des lieux de ses recherches 🙂 J’aime toujours autant cette façon de procéder. Je trouve que ça nous inclut tellement bien dans son enquête.
Oh ! Je sens que c’est madame de Férage la coupable et qu’elle est la demi-sœur de monsieur de Hamoir.
Joséphine interroge Apoline. Elle avoue qu’elle et Arthur étaient ensemble depuis quatre mois, que l’homme voulait officialiser la chose en l’épousant mais la comédienne voulait attendre : elle avait peur que ça n’ait des conséquences sur la négociation de son contrat avec Monsieur Sugny. Elle ajoute qu’elle a vu Arthur le matin de sa mort et qu’elle l’a quitté vers huit heures.
Le comte enquête de son côté et apprend qu’Éléonore est également allée voir Arthur ce jour-là, vers 8h45 et elle affirme qu’il était déjà mort.
La demoiselle et le mousquetaire entendent une conversation privée alors qu’ils partagent leurs informations. Il semblerait qu’une attaque contre sa Majesté se prépare. Jérôme doit veiller à sa sécurité et, pour protéger Joséphine (parce que l’enquête semble aller plus loin que ce qu’on avait jusqu’à présent), il lui demande d’arrêter de fouiner. Mais il est maladroit dans ses propos et Joséphine se braque complètement. Elle ne veut plus entendre parler de lui.
Bon eh bien, c’est madame de Férage la dealeuse d’opium. Elle affirme qu’un de ses hommes de main a récupéré les preuves qu’Armenoix avait contre elle. Est-ce que l’homme l’aurait tué ?
Rolala… Josephine prend des risques. Elle enfile la tenue de cadet que lui a laissée le mousquetaire, sort par la fenêtre de sa chambre et se rend là où l’attaque contre sa Majesté doit avoir lieu.
Grâce à son costume, Joséphine arrive à entrer dans la cour du château et elle voit bien vite les assaillants (elle semble la seule à les avoir remarqués). Elle croise le fer avec l’un des deux hommes. Étant donné qu’il a le dessus sur elle, elle lui partage ses accusations concernant leur implication dans le meutre du tailleur. Aucun des hommes ne nie. Alors que le combat semble perdu pour la demoiselle, monsieur de Faulcon de Montessand vient à son secours et brandit son épée pour la protéger. Le mousquetaire tue l’homme inconnu. Lorsqu’un de ses collègues enlève son masque, ils découvrent qu’il s’agit de Séverin de Mison, l’époux de la comtesse. L’autre homme a réussi à prendre la fuite, poursuivi par la garde du roi, mais Joséphine sait de qui il s’agit : monsieur d’Esquinet.
Rho cette époque m’énerve vraiment ! Ils sont tous les deux attirés l’un par l’autre. Mais elle n’est que fille de médecin et lui est un futur marquis. Ils créent eux-mêmes le fossé entre eux parce que ce genre de relation “ne se fait pas”. Dis moi qu’ils vont aller au-delà de ça :/
Le lendemain, le mousquetaire se rend chez Joséphine afin de vérifier qu’elle va bien et lui remet une invitation, pour elle et Louise, a une fête qu’il organise.
Rolala… Dès que le comte veut lui parler du sujet qui le tracasse, lui et Joséphine sont toujours interrompus 😒
Oh finalement il peut lui dire : il part en Normandie dans deux jours et il ne sait pas pour combien de temps : son père est malade. Rho je m’en doutais. C’est aussi pour cette raison qu’il n’a pas donné de nouvelles après leur départ du domaine de Sept-Vans : il était près de lui, sur ses terres.
Alors qu’ils discutent de ce départ (qui leur brise le cœur à tous les deux mais que personne n’ose l’avouer), toutes les pièces du puzzle s’emboîtent. Joséphine sait qui est le meurtrier et pourquoi. Ils vont profiter de la fête de départ du comte pour faire leur révélation.
Ohhh c’est palpitant ! L’homme de main de madame de Férage est Apolline Dumareil.
Oh bah c’est Apolline qui a tué son amant parce qu’elle a découvert que c’est lui qui avait dénoncé les magouilles de son père et ruiné sa famille.
Le comte s’en va et ça leur brise le cœur à tous les deux. Mais ils se promettent de s’écrire 🙂 Rolala ! Je pensais qu’ils s’avoueraient leurs sentiments moi… Est-ce que je suis frustrée ? Complètement 😁
Comme avec le tome 1, je me suis régalée avec cette enquête à la Colombo 😁
Alors qu’elle se trouve dans une boutique de vêtements avec sa sœur et son père, Joséphine assiste à la découverte du corps sans vie du tailleur. Arthur Armenoix a été assassiné de sept coups de paire de ciseaux dans le dos.
Se sentant capable de renouveler l’exploit réalisé sur le domaine des Sept-Vans, Joséphine décide de mener l’enquête. Une fois encore, elle sera secondée par un charmant mousquetaire…
Pour commencer, j’ai adoré retrouver Joséphine, sa sœur pétillante et le comte de Faulcon de Montessand. J’aime leur caractère à chacun et la relation qu’ils entretiennent. J’avoue que je déteste l’époque dans laquelle se déroule le livre, par rapport à la condition des femmes, mais aussi à cause des différentes classes sociales. Une fois encore, Joséphine montre qu’elle est au-dessus de tout ça, qu’elle se fiche de certaines règles (oui, elle en respecte quand même quelques-unes) et j’aime son personnage que je considère comme avant-gardiste.
Tout au long de son enquête, Joséphine fait des récapitulatifs de tout ce qu’elle a appris et on découvre un peu ce qui se passe dans sa tête, ses réflexions. Tout comme je l’avais apprécié dans Funestes fiançailles, je trouve que cette façon de faire le point nous implique davantage dans l’enquête. Je me suis régalée à tenter de découvrir le petit truc qui permettrait d’identifier le coupable. Je me suis amusée à faire des suppositions délirantes et pour le coup, je n’ai pas du tout deviner qui est l’auteur du crime avant la fin 🙂
Si on parle un peu de la relation entre la demoiselle et le mousquetaire, eh bien… Je suis mitigée 😁 Une part de moi a adoré les retrouver et a apprécié leur joutes verbales, les taquineries, etc. Mais une autre part de moi a détesté le fait qu’ils s’imposent autant de barrières. Autant te dire que j’attends avec impatience le tome suivant pour savoir où tout ça nous mène 🙂
Ah oui, dernière petite chose : je suis complètement frustrée par la fin de ce tome (il fallait que je le dise 😁).
Le livre est disponible sur :
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