La Belle et la Bête – Les Contes Interdits

Première partie

On plonge dans le récit d’Izabelle, dans l’enfer qu’elle a vécu.

Izabelle a la vingtaine et est infirmière. Alors qu’elle dînait avec ses deux sœurs aînées chez son père, des individus cagoulés débarquent. Le père est assommé et tous sont enlevés.
Ils sont emmenés en pleine forêt boréale, loin de tout. Tous les quatres sont enfermés, séparément, dans des sortes de cages.

Ils ne sont pas seuls dans leur “prison”. Un homme, à qui il manque un bras, les deux jambes (sectionnées aux genoux), ainsi que la langue, est assis dans une cellule un peu plus loin. Ils sont tombés chez un malade qui s’amuse à découper des corps ? Est-ce que c’est ce qui les attend ?

Quand l’adolescent qui les nourrit vient chercher Yves (le père) pour le mener à son père, Izabelle insiste pour qu’il l’emmène à sa place.
Le maître ne lui fait pas de mal. Au contraire. Il l’endort et, quand elle se réveille, elle est bien loin de sa cellule, dans une chambre luxueuse.

Oh… Richard, le maître, affirme que ce n’est pas lui mais ses hommes qui choisissent les victimes à enlever. L’un des membres de la famille d’Izabelle a dû faire quelque chose. En tout cas, le sacrifice de la jeune femme pousse Richard à s’intéresser a elle. Malgré son caractère taciturne, elle est, pour le moment, saine et sauve (on ne sait pas s’il en est de même pour ses sœurs et son père).

Au fond de moi, j’ai la sensation que la viande que lui sert Richard est humaine… Peut-être même des membres de sa famille ?

La vache ! Richard est hyper perspicace et a réussi à cerner Izabelle en deux soirées !

Oh putain j’avais raison ! C’est bien des humains qu’ils mangent. Et Izabelle découvre dans le réfrigérateur des morceaux de ses sœurs, et leurs têtes, bien séparées de leurs corps. C’est répugnant.
Armée d’un attendrisseur de viande, Izabelle assommé Richard, délivre son père et fuit dans la forêt, poursuivi par Jonathan, l’adolescent qui sert le maître.

Ils finissent par trouver refuge dans un petit chalet où vit une dame âgée et son mari. Ce dernier est parti faire des courses.
Jonathan et Richard les retrouvent et tirent sur la maison. Yves s’empare du fusil de chasse de l’époux de Rolande. La vieille dame est abattue alors qu’elle jette un œil à la fenêtre. Idem pour son mari qui revient des courses. Jonathan et Richard sont sans pitié.

Yves se sacrifie pour occuper les deux hommes pendant que sa fille fuit. Elle arrive dans la voiture du mari de Rolande. Par chance, elle évite les coups de feu, remarque un téléphone sur le siège passager et appelle les secours. Elle est sauve. 

Intermède

La première partie de l’histoire est finie. On retrouve les sergents détectives.

Sur place, ils ont retrouvé les corps des deux personnes âgées, de Jonathan (qu’Yves a descendu) et le corps d’Yves.
Plus loin, Richard a mis le feu à sa résidence pour cacher toutes les preuves et il a disparu.

Ahhh voilà enfin le lien avec Peter Pan ! La police pense que le cannibale est un prisonnier qui s’est échappé de prison il y a trois ans et qu’ils n’ont jamais retrouvé, le Crocodile, alias Richard Trudeau. C’est bien lui.

Les policiers ont trouvé une survivante au chalet des deux personnes âgées : une fillette de six ans, Majorie, qui passait quelques jours chez ses grands-parents. Elle jouait dans le grenier quand le drame est arrivé, tenant dans ses mains un cheval fabriqué en allumettes (quelqu’un a veillé sur elle 😋).

Oh… Le témoignage de la petite est troublant. Elle affirme que Richard n’était pas là et qu’Izabelle se tenait aux côtés de Jonathan et chassait son père.

Hum… On découvre les échanges par lettre d’une certaine Rose avec Richard.

Ils ont échangé au moins pendant 6 mois !

Quand les policiers retournent chez Izabelle, elle n’est plus là. Elle devient alors leur suspect numéro 1.

Deuxième partie : la Bête

On retourne au moment où Marie-Pierre et Alexandra vont se faire tuer.

Bon en fait, Izabelle a complètement débloqué. Elle n’était même pas enfermée avec son père et ses sœurs et l’infirme n’avait pas la langue coupée : il a pu discuter avec sa famille et les prévenir de ce qui les attendait.

Rho mais c’est dégueu !
Pour éviter que Jean-Philippe, le manchot, n’en dévoile trop, le Crocodile lui coupe (très lentement) la langue et la mange devant les Dupuis. C’est horrible. Ah oui… Izabelle est bien sa complice !

Alexandra est la première avec qui sa sœur veut “jouer”.
Oh bon sang, je sens que ça va être dégueulasse.
Le Crocodile découpe les faux seins d’Alexandra pendant qu’Izabelle lui arrache ses faux ongles. La vache, j’ai mal aux seins et aux ongles rien que de lire la scène 🤢 Je crois que je vais vomir… Voilà qu’ils lui découpent les paupières pour éliminer ses faux cils. Mais pourquoi je m’inflige ça sérieux 🤢🤢🤢 et le Croco lui crève un oeil au passage en plus.

Quand elle revient à elle, Alexandra ne pense qu’à une chose : mettre fin à ses jours.

On va maintenant découvrir ce qu’il s’est passé pour l’autre sœur, Marie-Pierre.

Izabelle veut se venger d’elle. Sa sœur ne l’a jamais aimé, pire, elle a bien failli la laisser se noyer, la regardant en souriant. Si son père n’était pas apparu dans les parages, elle l’aurait laissé couler.
De l’eau bouillante est versée sur l’intérieur des cuisses de Marie-Pierre. Le Crocodile et son amante se régalent, mais s’ils sont impatients de passer à leur morceau de viande préféré : les joues. Une nouvelle fois, de l’eau bouillante est versée sur le visage de Marie-Pierre.

Vient le moment de la vengeance sur son père.

Non mais what ! Izabelle installe son père juste devant un lit et baise avec le Crocodile sous les yeux d’Yves. Elle est persuadée que son père a envie d’elle, elle qui ressemble tellement à sa mère morte en la mettant au monde. Pour parfaire le tableau, Jonathan apporte les têtes d’Alexandra et Marie-Pierre qu’il dépose aux pieds du lit. Une partie de l’âme d’Yves le quitte ce jour-là (tu m’étonnes).
Izabelle et Richard le laissent les regarder dormir. Yves en profite pour tenter de se libérer et il fuit au matin. Il est rattrapé par le Crocodile à la cuisine. Il l’assomme avec l’attendrisseur de viande. Quand sa fille le surprend, il arrive à lui faire entendre raison. Elle le laisse partir.

En réalité, tous les événements qu’a raconté Izabelle ont bien eu lieu. Sauf que les acteurs ne sont pas les bons.

Oh bah c’est Izabelle qui a tué son père et elle le regrette. Mais elle a été trop longue. Le Crocodile a mis le feu à leur cachette secrète et l’a abonnée. Voilà pourquoi elle a décidé de jouer la victime auprès des flics. Elle a tout perdu. 

La vache ! Elle a pensé à tout !

Épilogue

Richard, aidé de deux sbires de Néo (un gars influent, trafiquant) retrouve Izabelle et l’éloigne des flics. Le Crocodile fait d’elle une horloge humaine, comme il l’avait fait de Hook, le flic qui l’avait arrêté, sa plus belle œuvre d’art, qu’il a dû détruire dans l’incendie. [fermer]