/!\ Ce tome est le troisième de la saga. Dans la suite de cette chronique, il y a donc de forte chance pour que je parle de choses qui se sont passées dans les tomes précédents dont tu peux lire mes avis ici.
Si tu n’as pas lu les tomes précédents ou si tu ne les as pas finis, ne poursuis pas la lecture de cet article
Date de parution : Septembre 2022
Préjugé n°1 : Les femmes ne s’intéressent qu’à l’argent
Quand son patron refuse sa demande d’augmentation, Alison y voit l’occasion de le détester encore plus.
Elle n’est pas dupe. Sous ses airs de gendre idéal, celui que la presse surnomme Monsieur Love – parce qu’il vend l’Amour, le vrai ! – est un homme d’affaires qui n’agit que par intérêt.
Et la nouvelle offre qu’il agite sous son nez en est la preuve : un contrat de collaboration personnelle avec clause de confidentialité… C’est une blague ?
Alison n’est pas prête à donner de sa personne pour les beaux yeux de cet homme. Elle ne sait même pas comment supporter sa présence hautaine et froide… Sauf que cet argent qu’il lui propose en échange, elle en a besoin.
C’est un livre de Julie, voilà pourquoi =) Je suis fan de sa plume, de son style. Je n’ai jamais été déçue par l’un de ses bouquins et celui-ci est dans un genre que je n’ai pas encore lu venant d’elle. Je suis curieuse de la découvrir dans une romance 🙂
Chacun des chapitres est annoté du nom du personnage qui va nous le raconter. Est-ce que l’on doit s’attendre à des changements de points de vue ?
Nous suivons Alison Bertin, une graphiste qui travaille pour la société CatchLove. Cette boîte est spécialisée en coaching amoureux. Elle est censée vous aider à trouver l’amour, à solidifier votre couple, à vous apprendre à séduire, etc.
La jeune femme a rendez-vous avec son patron, Carlier. Mais quand elle arrive devant l’homme de vingt-neuf ans, elle perd tous ses moyens (faut dire que son physique et son charisme ne semblent laisser personne indifférent).
Néanmoins, elle prend son courage à deux mains. Cela fait des années qu’elle travaille pour la société (huit) et elle aimerait que son salaire soit revu à la hausse (ça me paraît légitime, surtout que la boîte semble bien se porter).
Ok…Carlier est un vrai con**ard… Il joue sur les mots et sous-entend qu’il pourrait sous-traiter les jobs de graphiste et acheter les créas à la demande… Bref, c’est dépitée et sans voix qu’Alison sort du bureau.
Oh bon sang ! Je me retrouve tellement dans tout ce qu’elle dit sur la routine. Je suis un peu comme elle, à imaginer des scénarii et à ne pas oser dire ou faire les choses, à penser à des réactions après coup, à parfois même regretter de ne pas avoir osé :/ C’est triste hein ?
Alison vit en appartement avec sa meilleure amie, Mia et sa petite sœur, Amélie, sur qui elle veille depuis la mort de leurs parents l’année précédente dans un accident de voiture. Cependant, avoir la garde de sa sœur n’est pas simple (même si elle a dix-sept ans et semble sans problème) et les finances ont du mal à suivre.
Quelques jours plus tard, Carlier convoque Alison dans son bureau.
Alors qu’elle est persuadée qu’il va la licencier, son patron a en réalité un nouveau poste à lui proposer. Néanmoins, il ne lui en parlera qu’après qu’elle ait signé une clause de confidentialité.
Je retrouve bien là le style de Julie : la maladresse de son héroïne et sa répartie :p Alison me plaît, oui oui ^^
Eh bah… Sa proposition ressemble à une blague. Étant donné qu’il est à la tête d’une entreprise qui promet de trouver l’amour, il ne peut pas rester célibataire. Le job qu’il propose à Alison consiste à se faire passer pour sa petite amie afin qu’ils jouent le couple parfait. Couverture idéale pour l’image de la société
Ah ah ! Changement de point de vue. Voilà celui de Carlier. Non mais attends… Carlier c’est son prénom ou son nom de famille là ? Chelou comme prénom…
Mais quel co**ard (bis repetita) ! Il a choisi Alison parce qu’elle est une parfaite madame tout le monde. Elle est jolie mais sans plus, et selon lui, elle mériterait de perdre quelques kilos pour pouvoir entrer dans un trente-huit et non un quarante. Et par-dessus, comme elle a besoin d’argent, il est sûr qu’elle est prête à accepter tout et n’importe quoi. Ah oui… Le fait qu’elle le déteste (autant que moi) est aussi entrer en jeu dans sa décision.
Le contrat durera au minimum un mois et demi : deux semaines de préparation et un mois de « spectacle en public ». Si elle accepte, c’est douze milles euros qu’elle se mettra dans la poche 😮
Évidemment, et heureusement, Alison n’est pas aveuglé par l’argent même si elle en a besoin ; quand on débourse autant d’argent, c’est qu’il y a des règles à rallonge…
Dans la liste des règles, il y a le fait qu’en dehors des caméras et journalistes, il n’y aura aucun rapprochement, pas de sexe, mais le plus important et le plus inconcevable selon Alison : personne, pas même ses proches, ne devront être au courant de leur accord. Tout le monde devra croire à leur idylle.
Même si elle est sûre de refuser sa proposition, la jeune femme emmène le contrat et quitte, en colère, le bureau de son patron (c’est un vrai con).
À son arrêt de bus, elle croise Julian, un homme à qui elle a parlé quelques jours plus tôt. Le courant semble bien passé entre eux : ils vont boire un verre. Julian a trente et un ans et travaille pour une boîte de com’ à Londres qui essaie de gagner un contrat avec une société de la capitale (avec CatchLove ?).
De retour chez elle, Mia lui apprend qu’Amélie se renseigne sur les facs de médecine pour l’année prochaine et les classe par prix de loyer des logements. Elle prendra aussi un emploi à côté. Bon… Bah… Je pense qu’Alison ne va pas trop avoir le choix avec Carlier hein… Tant pis pour Julian ? (Une des clauses est de ne pas être avec un autre homme le temps du contrat…).
Une fois seule, elle lit le document fourni par Carlier. Durant les deux premières semaines, elle peut rompre à tout moment le contrat. Elle envisage donc de faire ces quinze jours, de toucher les deux milles euros et d’arrêter là (l’argent appelle l’argent aussi… elle finira par en couloir plus…).
Trois jours après avoir signé le premier contrat, l’apprentissage commence. Alison rencontre Laure Dupin, une soixantenaire joviale et bienveillante. La mission de Laure est de lui expliquer comment évoluer dans le milieu de Carlier (en réalité, elle a employé le terme “survivre”…).
Bon ça m’agace… Pourquoi, pour être « présentable en société », une femme doit forcément être en talons hauts ? Pourquoi ne pourrait-on pas être en ballerine ou en converse ? Avoue que c’est quand même plus agréable et pratique ? (Oui j’avoue ! Je ne sais pas marcher avec des talons et je pense que je m’en serai même moins bien tirée qu’Alison).
Ahhh bah Ali pense comme moi =) Et quand Carlier vient prendre le relai pendant que Laure prépare le repas, elle lui balance qu’elle entendra ses critiques et remarques quand il lui aura prouver que marcher avec des talons est facile. D’un claquement de doigts, furieux, Carlier prend sa veste et quitte l’appartement (il est parti acheter des talons à sa taille ?).
Eh bien… Alison agace Carlier autant que lui l’énerve. Et comme il manque de temps avant Noël (on est déjà en novembre), il ne peut pas se permettre de chercher une autre candidate.
Quand il revient à l’appartement avec des talons aiguilles, il se rend finalement compte que c’est bien plus compliqué qu’il n’y paraît. Et cette fois, c’est Alison qui lui fait la leçon 🙂
La vache ! Dire que j’allais revoir mon jugement sur Carlier en sachant que sa mère est ignoble avec lui et dirige tout dans sa vie. Mais quand il parle d’Alison, j’oublie tout ! Mais pour qui il se prend sérieux ? Il est clairement détestable !
Air aïe aïe, ça se complique pour Alison. Le week-end suivant, piégée par ses colloc’, elle passe la soirée au restaurant avec Julian. Il y a un rapprochement entre eux, mais, à cause du contrat qui la lie à Carlier, Alison s’interdit tout écart (pas même un baiser ..). D’ailleurs, avec du recul, elle se rend compte que Julian lui plaît mais sans plus. Il n’y a pas d’étincelles entre eux. Il a toujours été là au bon moment et avec son célibat, bah n’importe quel contact semble la mettre en émoi (le manque :p).
Eh bien, cette seconde semaine d’apprentissage va être intéressante : c’est Carlier lui-même qui s’y colle. L’idée étant qu’ils apprennent à se connaître un peu plus, ou en tout cas, à avoir sous le coude quelques anecdotes pour les journalistes.
Étant donné que la communication ne passe pas entre eux, Laure a laissé des instructions. Les voilà donc en train de préparer une recette de cuisine. Alison se rend alors compte que Carlier n’a jamais partagé ce genre d’activité avec quelqu’un de sa famille.
Finalement, ils arrivent à venir à bout de la recette sans s’entretuer, même si le résultat est mauvais. Carlier leur commande à manger et il partage un repas en discutant de l’entreprise.
Le lendemain, quand Monsieur Love doit s’absenter des « cours » d’Alison pour une réunion d’entreprise, ça semble l’agacer. Est-ce qu’au fond de lui, il aime passer du temps avec la jeune femme ? Est-ce que le fait qu’elle ne bave pas à ses pieds et lui tient parfois tête ne lui plaît pas un peu ? Lui qui semble attacher à sa routine, à avoir le contrôle sur tout, est-ce qu’Alison n’est finalement pas une bouffée d’oxygène dans sa vie millimétrée ?
Après un démarrage un peu compliqué, j’avoue que je suis à fond dans l’histoire et je suis curieuse de savoir comment va évoluer la relation entre Carlier et Alison. Est-ce qu’une étincelle va finir par jaillir entre eux ? Est-ce qu’il va y avoir un élément déclencheur ? Est-ce qu’Alison va accepter le second contrat ?
Eh bien ! C’est le jour des quatres vérités entre Carlier et Alison. La jeune femme lui explique les raisons qui pourraient la pousser à refuser le second contrat (les ragots notamment ou encore le poste de sa chef qui part à la retraite prochainement qui lui passera sous le nez ou sera considéré comme une promotion canapé). Elle dit ensuite à Carlier qu’il ne peut pas comprendre la notion d’évolution dans une entreprise, car il est le fils de la fondatrice. Et là, ça lui fait péter un câble. Il doit se passer un truc avec sa mère. Leur relation semble pourrie de chez pourrie. Si ça se trouve, son plan, c’est à cause d’un ultimatum qu’elle lui a donné ?
Alison a l’impression de changer et pas dans le bon sens du terme. Peut-être que, finalement, elle se rend compte qu’elle se trompe en partie sur Carlier. Quoi qu’il en soit, elle culpabilise de lui faire perdre son temps et lui annonce qu’elle n’acceptera pas le prochain contrat, celui qui dure un mois.
Ahhh enfin ! On connaît le prénom de Carlier (je savais bien que Carlier c’était nul comme prénom). Il s’appelle Noah. J’ai la sensation qu’en plus de la relation pourrie avec sa mère, son ex lui a fait un sale coup, ou alors, cette Sophia n’était avec lui que pour son argent… Même s’il est détestable, ça ne semble être qu’une carapace pour se protéger. Mais Alison arrive de temps en temps à faire tomber le masque… D’ailleurs, Noah lui fait une demande un peu particulière : il lui demande de l’accompagner à un dîner de famille le lendemain.
Carlier l’a entendu. Il a entendu qu’elle ne voulait pas qu’on lui impose quoi que ce soit. Pour la préparer au dîner, il a fait appel à des coiffeurs, stylistes et maquilleurs. Chacun d’eux écoute les avis d’Alison et la conseille. La jeune femme en profite alors pour se laisser porter et oser le changement (est-ce qu’on va avoir le déclic que j’attends ? 😛 ). En tout cas, le relooking semble plaire à Noah 🙂
C’est l’heure. J’avoue que j’angoisse un peu. Est-ce qu’Alison ne va pas dans un guet-apens ? Est-ce que, si Béatrice Carlier attaque, Noah prendra sa défense ? Est ce que ce dîner va changer la vision qu’ils ont l’un de l’autre ?
Wah la vache ! Sa mère est une garce ! Ce n’est pas un simple dîner de famille qu’elle a organisé. C’est un dîner pour que Noah puisse se « pavaner » avec sa conquête du moment et se ridiculiser devant un public… La soirée s’annonce super…
Ah voilà l’explication ! Eric Langlois, un investisseur de CatchLove, a une fille de l’âge de Noah. Il semblerait que Langlois et Béatrice ne soient pas contre l’idée d’une alliance familiale. D’ailleurs c’est avec sa fille, Iris, que Langlois débarque.
Bravo Alison ! Ne te laisse pas démonter ! Ta spontanéité va faire la différence durant ce repas :p (oui oui je la kiffe).
Eh bien ! On apprend aussi que la mère de Noah lui cédera les parts restantes de l’entreprise à condition que celui-ci ait une image de couple parfait. Voilà donc la raison de toute cette mascarade (+ le fait qu’il ne veut pas se retrouver avec Iris).
Oh bordel ! Noah l’a manipulée ? Comme par hasard, une photo d’eux devant la demeure des Carlier a fuité. Une photo où Monsieur Love replace une mèche de cheveux d’Alison… C’est un moyen de lui forcer la main pour le second contrat non ? Ah bah Alison pense exactement comme moi. Elle fonce d’ailleurs dans le bureau de Carlier pour le confronter.
Ah bah vu la réaction de son patron, il a lui aussi été pris au piège… Béatrice alors ? Mais quel serait son intérêt ?
Je rêve où Carlier est en train d’être attiré par Alison ? Voire même de tomber amoureux d’elle, non ? D’ailleurs, il fait un geste vers elle : un avenant à leur premier contrat qui lui permet de tout raconter à Mia et sa sœur. Bon bah c’est sûr, elle va accepter le second, surtout quand Noah partage l’idée que c’est certainement Iris qui est responsable de la photo et de l’article.
De retour chez elle, ses deux colloc’ ont vu, elles aussi, l’article insinuant qu’elle est en couple avec Carlier. Amélie claque la porte en traitant sa sœur de prostituée. Mia, en revanche, écoute toute l’histoire. C’est même elle qui suggère à Alison d’accepter le second contrat. Après tout, la presse en parle déjà et cette fois elle et Amélie seront au courant de l’histoire. Autant en profiter non ? (elle n’a pas tout à fait tort…).
Le lendemain, Béatrice Carlier l’attend. Elle l’a fait monter dans sa berline et lui propose une grosse somme d’argent pour qu’elle quitte son fils. C’est d’ailleurs ce qu’elle a fait avec Sophia… Mais Alison n’est pas ce genre de personne. Elle ne se laisse pas intimider par Béatrice, refuse plusieurs fois et quitte la voiture. Elle s’empresse ensuite de retrouver Noah.
Rhooo je suis contente. Ce refus a rallumé une flamme chez Noah. Une étincelle qu’il ne pensait jamais retrouver. Alison n’est pas comme les autres. Elle lui plaît. Sa dernière barrière tombe et il cède à son charme. Alors qu’ils allaient échanger un premier baiser, la secrétaire de Monsieur Love l’informe de l’arrivée de Langlois. Alison en profite pour s’éclipser (mais Noah ne laissera pas tomber :p).
Je suis ravie de lire que ça s’arrange entre Amélie et Alison. D’ailleurs, grâce à Mia, elles partagent un moment dont elles avaient bien besoin.
Benedicte souhaite déjeuner avec son fils et Alison. Un journal a demandé une interview du couple et la fondatrice de CatchLove veut mettre une stratégie médiatique au point (elle veut surtout faire craquer Alison pour qu’ils se séparent).
Au fond d’eux, aussi bien Noah que la jeune femme ont du mal à mettre un point final à leur collaboration. Bah oui, finalement, ils sont attachés l’un à l’autre.
Non mais quoi ? Les Carliers connaissent Julian ? Et Béatrice se sert de lui pour accuser Alison de manipulation ? C’est le frère de Noah 😮 et Béatrice a une photo d’eux dansant au restaurant…
En réalité, c’est Julian qui est une pourriture. Il a été mis de côté par la famille et a profité de la naïveté d’Alison pour faire pression sur les Carlier. La vache, quelle famille de cinglés.
Ohhh my god cette fin :p Plus rien ne sera jamais comme avant 🙂
Bon sang ! Quelle frustration ! Quand j’ai commencé ma lecture, je n’avais pas capté que ce tome était le premier d’une série. Une fois encore, et même si ce n’est pas le genre auquel je suis habituée avec Julie, j’ai adoré sa plume et les personnages.
Alison est une graphiste qui a besoin d’argent pour subvenir aux besoins de sa famille. Elle ose donc aller voir son patron, Carlier, pour lui demander une augmentation. Ce dernier, arrogant, hautain – un vrai co**ard – lui rit au nez. Néanmoins, il a une proposition à lui faire : un nouveau poste, le temps de quelques semaines. Si elle accepte, elle pourrait s’en mettre facilement plein les poches (enfin, pas si facilement que ça, parce que le contrat qu’il lui propose est plein de clauses).
Alison est “vraie”, spontanée et n’a pas sa langue dans sa poche. C’est un peu la signature de Julie : j’ai eu l’impression de retrouver un peu d’Alicia et de Jenny dans Alison. Bref, on s’attache à elle, on se retrouve même parfois un peu en elle (j’avoue que j’ai été complètement fan de ce personnage, elle m’a énormément plu).
Concernant Carlier, c’est vraiment un co**ard et, dès le début du livre, on le déteste. Pourtant, on le découvre davantage au fur et à mesure de l’histoire et je trouve que la comparaison qu’Alison fait de lui avec un livre est complètement juste.
J’ai eu du mal à entrer dans l’histoire ; je pense qu’il m’a fallu une trentaine de pages avant d’être vraiment à fond dedans. Ensuite, eh bien, impossible de m’arrêter. Les chapitres sont courts, on jongle parfois de point de vue et… et j’ai adoré. J’aurai aimé que l’histoire dure encore et encore :p
En fait, c’est addictif. Tu as envie de savoir pourquoi Carlier a cette énorme carapace, tu as envie de connaître la décision d’Alison. Le livre est vendu comme un slow burn, du coup, tu sais que les deux personnages principaux vont finir ensemble. Personnellement, j’étais impatiente de voir l’étincelle apparaître :p Maintenant, j’ai hâte de lire la suite. J’espère qu’ils vont rabattre le clapet de Béatrice (que je déteste encore plus que Carlier 😀 )
Le livre est disponible sur :
©2020-2024 Les Lectures de Miettes
Cookie | Durée | Description |
---|---|---|
cookielawinfo-checkbox-advertisement | 1 year | Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to record the user consent for the cookies in the "Advertisement" category . |
cookielawinfo-checkbox-analytics | 1 year | Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to record the user consent for the cookies in the "Analytics" category . |
cookielawinfo-checkbox-functional | 1 year | The cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin to record the user consent for the cookies in the category "Functional". |
cookielawinfo-checkbox-necessary | 1 year | Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to record the user consent for the cookies in the "Necessary" category . |
cookielawinfo-checkbox-others | 1 year | Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to store the user consent for cookies in the category "Others". |
cookielawinfo-checkbox-performance | 1 year | Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to store the user consent for cookies in the category "Performance". |
CookieLawInfoConsent | 1 year | Records the default button state of the corresponding category & the status of CCPA. It works only in coordination with the primary cookie. |
elementor | never | This cookie is used by the website's WordPress theme. It allows the website owner to implement or change the website's content in real-time. |
Cookie | Durée | Description |
---|---|---|
_pk_id.* | 1 year 1 month | Matamo set this cookie to store a unique user ID. |
_pk_ses.* | 30 minutes | Matomo set this cookie to store a unique session ID for gathering information on how the users use the website. |
Cookie | Durée | Description |
---|---|---|
NID | 6 months | Google sets the cookie for advertising purposes; to limit the number of times the user sees an ad, to unwanted mute ads, and to measure the effectiveness of ads. |