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Le voleur de larmes

/!\ Ce tome est le troisième de la saga. Dans la suite de cette chronique, il y a donc de forte chance pour que je parle de choses qui se sont passées dans les tomes précédents dont tu peux lire mes avis ici

Si tu n’as pas lu les tomes précédents ou si tu ne les as pas finis, ne poursuis pas la lecture de cet article 🙂

Le voleur de Larmes - Alain Bezençon

Date de parution : Novembre 2010

Dans un monde où les émotions disparaissent, le commerce des larmes et des émotions qu’elles contiennent est devenu une industrie florissante. En marge de cette industrie et de ses larmes d’élevage, un marché parallèle offre des larmes sauvages prélevées à l’insu de leurs propriétaires pour une consommation très privée. Baldassario, le voleur de larmes, est un virtuose dans ce domaine.

POURQUOI J'AI EU ENVIE DE LE LIRE ?

C’est le premier livre au format numérique que j’ai téléchargé quand j’ai eu ma Kobo. Je trouvais le résumé intriguant qui m’a rappelé un film que j’ai beaucoup aimé, Equilibrium. Puis, évidemment, comme bien souvent, il a fini au fin fond de ma liseuse/mon ordi et je ne l’ai jamais ouvert…

CE QUE J'EN AI PENSÉ

J’ai eu beaucoup de mal à me mettre dedans. C’est une nouvelle. C’est censé aller vite à lire, en une soirée à peine. Mais je n’y arrive pas.

En général, j’aime quand il n’y a pas de blabla inutile dans les livres et qu’on va à l’essentiel, mais là, j’ai l’impression que ça va beaucoup trop vite, qu’on ne rentre pas dans le détail, qu’on raconte les choses uniquement en surface… j’ai beaucoup beaucoup de mal.

Au fil de ma lecture

C’est le résumé de l’histoire qui m’avait poussée à le télécharger. J’étais impatiente de commencer. Eh bien le début du livre, rien à voir. Pas de monde futuriste, les gens ont des émotions…

On apprend quand même assez vite pourquoi les larmes sont devenues une ressource très chère et on comprend pourquoi certaines personnes deviennent sans émotions. Cela dit, on ne sait pas comment ça a commencé…

A chaque changement de chapitre, on change de personnage central. Franchement je m’y perds, j’ai l’impression de passer mon temps à sauter d’une pays à l’autre parce que oui, les personnages ne vivent pas au même endroit…

Cela dit à un peu plus de la moitié, cela devient plus intéressant car le voleur de larme se voit confier une mission qui semble impossible et on veut savoir s’il va la réussir ou non. Je me demande si ce n’est pas la seule chose positive que je peux dire ici…

En conclusion

A la fin de cette nouvelle, j’ai l’impression d’avoir visionner un court métrage d’amateurs. On passe d’un truc à un autre, ça va vite, sans entrer dans le détail, sans explication, et la fin me laisse perplexe, pleine de questions.

Certains points auraient pu être davantage développés comme par exemple le commerce de larmes. On comprend qu’il s’agit de la « drogue du moment » mais on ne sait pas trop l’effet qu’elle produit sur les gens, on ne saisit pas vraiment la différence entre larmes volées et larmes de culture (qu’a l’une de plus que l’autre ?). On ne sait pas comment la maladie du siècle est apparue et surtout bah…. On ne sait pas vraiment comment l »histoire se finit (au moins , ça me permettra d’échanger avec ceux qui on lit ce livre), la fin est ce qu’on appelle une « fin ouverte ».

Finalement, ça a été une sacrée déception pour moi ce livre. Le résumé m’a vendue du rêve et les chapitres m’ont vite fait revenir à la réalité…

OÙ LE TROUVER ?

Le livre est disponible sur :

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