/!\ Ce tome est le dernier de la trilogie. Dans la suite de cette chronique, il y a donc de forte chance pour que je parle de chose qui se sont passés dans les tomes précédents dont tu peux lire mes avis ici.
Si tu n’as pas lu les tomes précédents ou si tu ne les as pas fini, ne poursuis pas la lecture de cet article
Date de parution : Juin 2024
« Même si Imérion devait y laisser la vie, les joyaux, eux, ne tomberaient pas entre de mauvaises mains. Malgré ce qu’il se passa ensuite, il ne regretta pas son choix d’avoir préservé les joyaux d’Aknör, car en effet, il aurait fallu le faire tôt ou tard. »
Les joyaux d’Aknör étaient tombés dans l’oubli. Telle avait été la volonté de son possesseur afin de préserver l’Alécanthia de la pire calamité qui soit. Ce choix avait été réfléchi dans l’espoir qu’un jour, l’Élu s’en emparerait et sauverait toute vie.
Le temps presse pour Eïmina qui sent l’étau se resserrer. Il lui faut encore trouver le dernier Érudit et enfin achever sa mission : repousser Xortius. Non, l’arrêter définitivement.
Eïmina n’a plus le droit de douter. Pourtant, en qui peut-elle réellement avoir confiance ? Pourquoi lui cache-t-on la vérité ?
Et si finalement, elle n’était pas l’Élue mais bien la menace qu’elle pourchassait ?
Après bien des mois d’attente, la conclusion de la saga est enfin là ! Et étant donné la façon dont se termine le second tome, je peux te dire que j’étais impatiente de lire ce livre !
On avait quitté Eïmina et les Érudits sur la cérémonie de mariage de Zaltet et Laïra. Mais à la fin de celle-ci, les soldats de Xortius approchaient et ce dernier avait un “présent” pour l’Élue : son père.
Rho Zut ! L’action du prologue se déroule ailleurs. On ne va pas retrouver tout de suite Mina et ses amis.
Bon sang, la “cérémonie” pour dessertir le spectre et la couronne est émouvante je trouve. Je ne sais pas comment l’expliquer mais j’avoue que j’ai été submergée d’émotion sans m’en rendre compte 😮 Peut-être à cause de la symbolique ? Ça venait de son père et il “défait” ce que son père avait initié.
Huit joyaux. Une Élue et sept Érudits. Étant donné que Sophie prend le temps de nous dévoiler la couleur de chaque pierre, est-ce que chacune d’elle ne serait pas destinée à Eïmina et ses compagnons ? Du coup, je paris qu’il a huit mécanismes à débloquer 🙂
Finalement, la situation semble se terminer positivement pour le roi : son ami Raïk est venu au secours du peuple quand il a entendu que le conflit prenait de l’ampleur. Il a réussi à prendre l’avantage. Cependant, Imerion ne regrette pas son choix : à présent, les joyaux d’Aknör sont en sécurité.
Le livre commence exactement à la fin du précédent, quand Mina aperçoit son père.
Jeraö est envoyé dans le Berh, sous les yeux d’Eïmina et de tous les Érudits, impuissants. Xortius et son armée repartent ensuite (d’ailleurs, on n’est même pas sûr qu’il s’agissait bien de lui). Pourquoi il a fait ça ? Je ne comprends pas le but de sa manœuvre, si ce n’est de déstabiliser Eïmina. Laïra trouve les mots justes pour sortir la guerrière de sa léthargie. L’Élue essaie de reprendre contenance et organise un conseil.
J’avoue que je suis du même avis que Prilyon concernant l’idée d’Eïmina de trouver un moyen de se rendre dans le Berh. C’est peut-être exactement ce que recherche Xortius : l’y emprisonner à son tour.
Fort heureusement, les Érudits la raisonnent et lui rappellent que ses principales missions actuellement sont de trouver le septième et dernier Érudits (celui de la Pureté) et la seconde moitié du parchemin. Cependant, Mina a peur du contenu de l’autre partie de la prophétie : et si c’était elle la menace ? Ça se tient… Elle est très puissante. Si elle laisse la colère et la haine l’envahir dans son combat contre Xortius, elle pourrait tout ravager.
Pour l’heure, la décision est prise : Eïmina et Mohrlïn, son fraternel, partiront pour les îles, à proximité du peuple Ekaülüs. Cependant, pas de portail. Elle traversera le continent afin d’observer les éventuels dégâts qu’auraient pu faire Xortius et s’assurer que personne n’ait besoin d’aide.
En chemin, Eïmina retrouve Mootiüs, le marchand qui l’avait aidé au tout début de sa quête. Il a été attaqué par l’Armée Noire qui a détruit son bateau. Grâce à la magie, Eïmina soigne le pauvre homme et répare son embarcation. Elle lui apprend ensuite qu’elle est l’Élue et qu’elle doit se rendre sur les îles de la mer de Cymbelthin (Rho je déteste toujours autant la façon de parler de Mootiüs).
Avant de reprendre la route, les deux amis s’arrêtent à Palasthia pour s’équiper pour le voyage (tous les instruments de navigation de Mootiüs ont été détruits). Ils retrouvent Blau qui les aide et qui confie un sac en velours à Elimina. Il est pour Owney (est-ce que ça pourrait avoir un rapport avec leur mariage ? 😁).
Sur la première île que visite Eïmina, le rocher de l’Espoir, elle découvre les vestiges d’un bâtiment. A l’intérieur, elle observe une table ronde, gravé de langage elnique (mélange de l’Elfique et du Nainique). Sur les conseils du roi et de la reine des Elfes, la traduction est confiée à Somfus et Grofus. Mais comme Mina, je n’ai pas confiance en eux. Ils cachent trop de choses. Et s’ils étaient de mèche avec Xortius depuis le début ? Ils possèdent la gemme du Temps et le fameux grimoire. Puis, ils sont au courant de tout ce que fait l’Elue… Je ne les sens pas. D’ailleurs, comme par hasard, les deux Sages affirment que les inscriptions ne sont pas importantes, juste décoratives…
Fort heureusement, une pierre tombale attire Mohrlïn qui se met à creuser frénétiquement. Il déterre un coffret contenant plein de parchemins, notamment des explications concernant le mécanisme liés à la gemme du Temps. Est-ce que Mina va en apprendre plus sur cet artéfact ?
Les voyageurs arrivent à présent à Kaïsmira, l’île ténébreuse. Ils n’y font qu’une halte rapide, l’île ne contient rien d’intéressant. Ils prennent alors la direction d’Okïra, l’île de la liberté. Rien d’utile pour l’Élue ici aussi, et c’est exactement pareil pour Staïra, la troisième île de l’archipel.
Eïmina essaie de garder espoir. Elle a un bon pressentiment concernant l’île suivante, Estaïmira, surnommée l’île arc-en-ciel. Eh bien non, rien ici non plus.
Plus qu’une île à visiter, celle située au sud-ouest de l’Alécanthia, l’île de la colline Perdue. Hum… Étant donné la créature qui les attaque à l’approche de l’île, je sens qu’elle va être intéressante.
Woh ! Les cristaux sur le front de Mohrlïn ont des capacités magiques ! Il arrive à redonner vie à un petit golem qui les conduit vers des ruines. En chemin, ils se font attaquer par des goules. Viennent alors à leur secours les gardiens de l’île, d’autres Golems de tailles et de formes différentes, qui n’ont pas été animés par Mohrlïn cette fois. Les gardiens les accompagnent vers les ruines.
Rhoooo ! Eimina trouve dans le bâtiment la seconde moitié du parchemin. Ce qu’elle y lit la chamboule tellement qu’elle décide de faire disparaître le document, de n’en parler à personne et de protéger l’accès à ses souvenirs et ceux de Mohrlïn afin que Durlat ne puisse rien savoir. Je ne cautionne pas du tout ce qu’elle fait, et je suis complètement frustrée parce qu’on ne sait pas ce que le parchemin contient. Est-ce que ça met en lumière les craintes de l’Elue concernant sa part d’ombre ? Est-ce que ça parle de sacrifices ? De la mort des Érudits ? De la sienne ? En plus du parchemin, Eïmina découvre un artefact qu’elle emmène avec elle. Le lendemain, l’Élue, son fraternel, le golem et Mootiüs reprennent la route en direction du campement des archéologues au sud decl’Alécanthia. Mina veut montrer l’artefact à Leen.
Alors que l’archéologue étudie l’artefact, Elsyka et Edwyd (le scientifique un peu fou) la mettent en garde : ils ont aperçu un groupe de banshees non loin. Un très grand groupe. Ces créatures sont annonciatrices de morts. C’est un peu flippant qu’elles soient là en si grande quantité. Cela dit, avec la guerre qui se prépare, ça ne m’étonne vraiment qu’à moitié. Le prochain voyage de Mina sera donc bien plus au nord et à l’ouest, vers le cratère d’Estiör. Mais cette fois, elle ira seule. Ses compagnons, dont son fraternel, resteront sur le campement avec les archéologues. Je ne le sens pas du tout.
Plus on avance et plus je me dis qu’à un moment donné, la noirceur en Eïmina va sortir… L’un de ses érudits va devoir se sacrifier pour la remettre dans le droit chemin.
Des centaines de banshees sont réunis au pied du volcan. L’une d’elles s’adresse à Eïmina. Elle la prévient qu’un grand malheur va s’abattre sur l’Alécanthia et que l’Élue doit continuer sa quête (pourquoi elle a dit « l’Elue » et pas « tu » ?). La créature la guide également. Eimina sait où aller (personnellement, je n’ai pas compris, si ce n’est qu’elle va devoir s’enfoncer dans la terre).
L’artefact qu’elle a trouvé est une clé. Reste à savoir ce qu’elle ouvre (ou ferme).
Eimina envoie le golem et Mootiüs à la contrée des Six, et part avec Mohrlïn à la grotte du Crâne, chez les Nains. Elle retrouve Daavor et Zaldor et en profite pour leur poser des questions : elle doit se rendre dans les profondeurs de la Bouche du Dragon.
Malgré la rumeur qui prétend qu’il y a un monstre dans les profondeurs de la Bouche du Dragon, les deux nains décident d’y accompagner l’Élue. Personnellement, je trouve que ces moments passés avec Zaldor et Daavor font du bien. Ils me font rire et c’est un moment de bonne humeur dans la quête de Mina 🙂
Bon fini la rigolade pour moi. Le conduit dans la Bouche du Dragon est hyper étroit. J’ai le souffle coupé et j’ai du mal à respirer. Étant claustrophobe, j’ai vraiment du mal avec ce passage.
Ohhh ça y est ! Eimina a trouvé le dernier Érudit. Ou plutôt, la dernière Érudite (même si je trouve ce mot plutôt moche…). Il s’agit de la créature enfermée dans une cage dans les profondeurs de la Bouche du Dragon. Elle me fait penser à Méduse : elle est mi-femme mi-serpent et a des dizaine et des dizaines de serpents en guise de cheveux. La créature s’appelle Aümeïssa.
On découvre alors l’histoire de l’Érudite, mais aussi celle de son peuple et son pouvoir de Morgoïs. Les femmes de ce peuple ont des capacités qui n’agissent que sur les hommes quand ils les regardent dans les yeux. Aümeïssa les transforme en statue de marbre. Wohhh mais elle est hyper âgée ! Elle a rencontré Aknör ! Bon par contre, il l’a sauvé d’une mort certaine pour l’enfermer dans une cage et « attendre son destin ». Il sait tout ça grâce aux joyaux. Depuis qu’il les a en sa possession, il a des intuitions. J’avoue que j’ai de la peine pour Aümeïssa :/ Elle a attendu seule sous terre, dans une cage ensorcelée pendant des centaines d’années.
Grâce à l’artefact trouvé sur l’île, Eïmina est en capacité de libérer la Morgoï. Eh bien… Le hasard fait bien les choses non ? (Même si on sait que c’est surtout le Destin 🙂 ).
De retour à la contrée des Six, Eïmina raconte son voyage au reste de ses Érudits et leur présente Aümeïssa. Comme par hasard, au moment où l’Élue évoque les joyaux d’Aknör, Somfus, Grofus et Vlarran sortent d’un portail. Grâce à ce dernier on en sait plus sur l’artefact. Les joyaux auraient la capacité de ramener des morts à la vie et d’ouvrir des portails sur d’autres lieux. Évidemment, les deux Sages veulent qu’Eïmina leur ramène les joyaux. Mais Vlarran lui dit qu’ils ne doivent faire qu’un. Est-ce qu’elle doit les fusionner ? Quoi qu’il en soit, les trois elfes repartent rapidement.
Eïmina rassemble alors les deux morceaux de parchemin. Le texte change. Les Érudits comprennent qu’ils doivent tous partir à la recherche des joyaux (et on ne sait toujours pas ce qu’Eïmina a lu et qui l’effraie).
Tout le groupe se rend à Palasthia dans le but de trouver le souterrain où seraient cachés les joyaux d’Aknör.
Rolala… J’appréhende un peu la fouille du souterrain qui doit être blindé de pièges. Cependant, je suis persuadée que chaque pierre est associée à un Érudit qui est le seul à pouvoir la libérer. Je suis curieuse d’en savoir plus.
Wah ! J’ai beaucoup aimé ce passage et la symbolique de chacune des pièces (entre nous, Shaïnok reste mon chouchou =)). Ne me demande pas pourquoi, mais j’ai été très émue quand Eïmina a eu son épreuve et qu’elle a découvert les joyaux. D’ailleurs, ceux-ci permettent, en plus d’ouvrir des portails et de ramener des morts à la vie, d’apporter de la clairvoyance à son porteur. Mina range soigneusement les joyaux dans un coffret.
Après une réunion exceptionnelle, le conseil décide que les joyeux d’Aknör resteront en possession de Mina pour le moment (même si elle semble attirée, envoûtée par leur pouvoir).
Accompagnée de Durlat et Zaltet, l’Élue se rend à Daïstia pour rencontrer les deux Sages et enfin avoir des réponses. Elle leur pose des questions sur le soldat sauvé chez les Nymphes. L’homme se remet, mais sa convalescence va être longue. Elle les confronte ensuite au sujet de la gemme du Temps. Guidée par les joyaux d’Aknör, elle la rejoint dans la salle. Les deux Sages avaient l’intention d’assembler avec les anneaux. Eïmina est consumée par la colère. Elle ne maîtrise plus son pouvoir qui explose, brisant la gemme du Temps. Vlarran lui confie le seule morceau qui semble encore contenir de la magie. Il lui conseille également de laisser les pierres lui partager leur pouvoir, de ne pas résister.
Eïmina et ses deux Érudits se rendent ensuite chez Trissia qui a une nouvelle tenue pour l’Élue. Une armure. Exactement la même que celle que porte Sophie lors des évènements littéraires 😁 La couturière prend soin de trouver une place à chaque pierre sur son ouvrage.
Après un passage à l’arène où, une fois encore, la magie a pris le dessus sur Eïmina, elle accepte cette fois de laisser les pierres et de ne faire plus qu’un avec elles. Après tout, c’est son destin. Cette acception la rend encore plus forte.
Ils repartent ensuite à la contrée des Six, accompagnés de Thepmo, un elfe architecte. (Eïmina n’a pas pris le temps d’aller voir son fils ?).
Malgré leurs actions, j’ai quand même du mal à faire confiance à Grofus et Somfus, mais je ne sais pas pourquoi. Le seul « vieil elfe » en qui j’ai confiance parce qu’il agit de manière complètement désintéressée est Vlarran.
Thepmosion a travaillé sans relâche une semaine durant sur la mission que lui a confiée Eïmina : une salle dans la demeure de l’Élue contenant onze miroirs qui serviront de portail. Eïmina veut, à l’aide des joyaux d’Aknör, créer des distorsions vers d’autres mondes. Est-ce qu’elle va réussir à ouvrir un passage vers le Berh ?
Euh… Les premiers essais ne sont pas hyper concluants : un passage au beau milieu de l’eau, dans la lave, sur des terres glacées ou peuplées d’insectes… Cela dit, je trouve que cette partie donne énormément de possibilités pour prolonger notre aventure dans cet univers : l’un des personnages pourrait devenir un explorateur, parcourir chacun de ces nouveaux mondes et nous raconter son histoire 🙂
Le sixième portail est moins hostile. C’est accompagnée de Prilyon qu’Eïmina le traverse pour découvrir ce nouveau monde. Cela dit, ce n’est pas ce qu’il recherche non plus (ça semble être un monde de géants).
Ohhhh ! Grâce à Thepmo et aux deux Sages, Meïssa peut à présent regarder les Hommes dans les yeux. Les elfes lui ont confectionné un masque envoûté lui permettant de contrôler son don. Elle choisit donc quand elle veut l’utiliser et peut également dépétrifier ses victimes.
L’avant dernier portail est intéressant. Prilyon et Eïmina y passent plus d’une heure et, à leur retour, ils informent leurs amis qu’ils sont invités à y retourner. Cependant, l’Élue veut découvrir ce qui se cache derrière le onzième et dernier miroir. Ah bah comme je m’y attendais, la dernière brèche offre une ouverture sur le Berh. Néanmoins, les deux amis sont prudents. Ils rentrent afin de mieux préparer cette expédition et y revenir sereinement plus tard.
Pour l’heure, Eïmina, Laïra et Prilyon traversent de nouveau la brèche numéro dix pour partir à la rencontre de ce peuple inconnu qui les a invités. J’sais pas si ça me plairait que, d’un coup, alors que je suis tranquillement chez moi, des inconnus débarquent de mon placard 😅
Les trois amis se trouvent chez les Athériäs, un peuple de combattantes (un peu comme les Valkyries :p ).
Hop hop hop ! Est-ce que Prilyon serait sous le charme de Jaulya ? 😛 ah bah c’est bien ça. Il a eu un coup de foudre ^^ La guerrière les conduit auprès de Maigya, la chef des Athériäs. La matriarche leur propose une alliance. Les jeunes gens ne s’attardent pas dans cet endroit. En effet, un sort funeste attend les hommes qui s’attardent sur ces terres. Soucieuse de la santé de Prilyon, Eïmina décide de rentrer rapidement, accompagnée de sept guerrières (dont Jaulya ^^) qui les aideront dans le conflit à venir.
À peine de retour dans la contrée des Six qu’Eïmina, Durlat, Laustïg et Jaulya repartent tout de suite dans le Berh. Sur place, ils économisent leur magie car celle-ci leur demande plus d’énergie à chaque sort. Bon clairement, je sens que je vais stresser.
Ils arrivent rapidement à proximité d’un groupe d’une dizaine d’hommes et de femmes prisonniers, surveillés par trois soldats sans âme de Xortius. Parmi les hommes enchaînés se trouve Jeraö, le père d’Eïmina, ainsi que la mère de Laustïg. Les amis se débarrassent rapidement des soldats. Ça semble vraiment trop facile.
Xortius est vraiment sans cœur. Il tue tout le monde. Hommes, femmes, enfants, créatures magiques ou non. Pour punir les nains d’avoir aidé Eïmina, il s’en est pris à un village où ils envoient certains de leurs enfants qui ont un aspect plus humain que nain. Les gens du village ont péri de manière tellement brutale que leurs âmes sont toujours rattachées à Malhera. Leurs spectres hantent la ville, ne sachant pas qu’ils sont morts (est-ce la catastrophe dont parlaient les banshees ?).
Bon il y a quand même une bonne nouvelle : la tour de la Perdition est reconstruite. C’est la guilde de Nayrök qui la traverse en premier pour vérifier que tout va bien en Maïstilys. Tout a l’air ok, mais j’avoue que le jeune homme sans magie qui a pu traverser m’intrigue. Comment c’est possible alors que la tour était détruite ? Je ne le sens pas.
En Alécanthia, Xortius incendie des maisons à proximité de la contrée des Six. L’Élue, ses Érudits et quelques soldats s’y rendent. C’est un piège… Pourquoi ils foncent ? C’était une diversion. Les soldats en ont profité pour encercler la muraille. Tous repartent rapidement à la contrée des Six.
Rolala ça me stresse ! Grâce à un portail de la salle de distorsion, Eïmina et quelques Érudits arrivent à faire diversion pour permettre aux restes des mages et soldats de sortir. Autour de la muraille des dizaines d’autres portails s’ouvrent. Ouf ! Ce sont des alliés ! La guilde de Nayrök n’est pas revenue seule ^^
Ah non mais là, c’est la cata. Une hydre immense à cinq têtes sort d’un portail, accompagnée d’un tas de sorcier et permet à Xortius de fuir. Sans réfléchir, Eïmina plonge à sa suite. Donc l’Élue est toute seule d’un côté, et de l’autre, ses amis doivent combattre une créature immense et des tas de soldats sans âme. J’ai du mal à voir une issue positive dans tout ça 🙁
Eh voilà, ça commence. Laustig se sacrifie pour sauver sa sœur. J’ai l’impression que c’est la seule perte après des heures à combattre et repousser l’ennemi. Par contre, étant donné le cri de Mohrlïn quand tous se rendent compte qu’Eïmina n’est pas là, j’espère que rien ne lui est arrivé.
Bon sang. Rien qu’avec le début du chapitre qui suit Eïmina, on sent que ça va être difficile à lire. Elle est prête à se sacrifier. Elle me donne même l’impression que c’est son destin 🙁
Elle est dans le Berh, encerclée par des soldats derrière lesquels se cachent Xortius. Utilisant la gemme du Temps, Eïmina ralentit les marionnettes et les envoie dans la prison elfique.
Xortius arrive à poignarder Eïmina. Cependant, alors que la vie s’échappe d’elle, son pouvoir grandit au contraire. Elle transforme Xortius en lézard et retraverse le portail. Mais elle est blessée. Ce sont tous ses Érudits (sauf Zaltet qui est introuvable) qui tentent de lui sauver la vie. Mohrlïn active les joyaux. Mina est saine et sauve.
En revanche, moi qui pensais qu’il n’y avait pas tant de perte que ça, je me suis plantée. Il y a de nombreux alliés morts dont Laustïg et son amant Daxan, mais aussi Zaltet. C’est pas possible hein ? Oh bon sang c’est triste… Est-ce qu’Eïmina va utiliser les joyaux d’Aknör pour les ramener à la vie ? On peut pas laisser Laïra comme ça ?
Eïmina a rendu visite à Neïcra pour lui poser des questions sur la nécromancie. La professeure lui a conseillé de ne pas en abuser et de ne ramener que deux âmes maximum. Elle va devoir faire un choix et aucun de ses Érudits ne semble décidé à l’aider. Elle est bien seule. Il y a tellement de morts qu’elle pourrait ramener, comme Sviden par exemple (enfin… est-ce que c’est possible vu que sa réincarnation a disparu ?). Je n’aimerais pas être à sa place. Je pense que je déciderai de laisser les morts où ils sont, même si ça fait mal.
Rho purée… Laïra est enceinte. C’est sûr, Eïmina va ramener Zaltet :/
La jeune femme a fait son choix. Elle réunit les Érudits dans la salle de distorsion et traverse l’un des portails, celui qui mène vers le royaume de glace, le royaume des morts. C’est Caïmia, sa mère, qui la guide dans ce royaume.
Eïmina a décidé de ne pas suivre les conseils et de ramener trois âmes : celle d’Anaïak (Shaïnok va enfin être heureux ^^), de Zaltet et de Sviden. Mais du coup, Eïmina ne reviendra pas. Je trouve ça tellement égoïste de sa part ! Elle abandonne Owney, son fils, son père, ses amis ! Elle aurait dû laisser Sviden ! Grâce aux joyaux qu’elle porte, elle pourra toujours communiquer avec eux à travers le miroir. Elle a lu son avenir, elle est sûre de revenir un jour.
Malgré l’explication qu’Owney donne à Sviden, je ne valide pas le choix d’Eïmina. Elle a vu que si elle ne ramenait personne, sa noirceur prendrait le dessus. Mais pourquoi est-ce qu’elle ne s’est pas arrêtée à deux ? Pfff…
Si on met le sacrifice d’Eïmina de côté, il se passe énormément de choses positives. Sviden va veiller sur Maydwën, Adarra et l’enfant à naître de Laïra. Les deux Sages ont créé un œil de verre magique pour Prilyon qui voit de nouveaux comme avant. Les milvions, aidés par la guilde et Weiss, le frère d’Eïmina, ont reconstruit Cazbellec exactement pareil qu’avant l’attaque de Xortius.
Eimina avait promis aux Athériäs de découvrir le mal qui tuait les hommes qui mettaient les pieds chez eux. Aümessia, Durlat et Prilyon accompagnent donc les guerrières en Moïstenia.
Il s’avère que c’était un homme d’un village à l’ouest qui avait empoisonné le fleuve. Les Érudits arrivent à faire en sorte que l’alchimiste à l’origine du poison leur fasse un remède qu’ils vont vider dans le fleuve. Une fois leur mission terminée, ils retournent a la Contrée des Six, accompagnés de Jaulya (la jeune femme a décidé d’écouter son coeur :p).
Bon y a un peu trop de « tour est bien qui finit bien » à mon goût =) j’avoue, j’aime quand les choses tournent mal. Mais là, trop de couples se forment, ça m’agace 😁 (Daïm et Kalista, Aümeïssa et Sviden, Prilyon et Jaulya ; du coup, Durlat est triste de ne pas trouver sa moitié). Envahi par un sentiment de solitude, Durlat décide de partir avec Keïko pour faire le tour de l’Alécanthia et se retrouver un peu seul.
C’est à Souveïsthia qu’il trouve son bonheur en venant en aide à une jeune femme avec un noble projet. Meitaïsa souhaite ouvrir un orphelinat pour accueillir tous les enfants ayant perdus leurs parents à cause de Xortius.
Épaulé par Owney, Durlat remet sur pied le château abandonné de la ville et y installe tous les enfants.
Alors que l’elfe décide de rester un peu au château, le premier érudit ne repart pas seul. Une fillette du nom de Loxsïa et qui lui fait beaucoup penser à Eïmina repart avec lui à la contrée des Six.
Ohhh ! C’est Maydwën qu’on suit dans l’épilogue. Il a bien grandi 😮 et ce qui est rigolo, c’est que son fraternel est le petit golem qui a aidé sa mère bien des années plus tôt. La créature de pierre s’appelle Yfaïk. Je crois qu’il a dix huit ans. Eïmina est toujours enfermée dans l’entre deux mondes 🙁 Elle lui confie l’épée de Justice.
Ah bah tout le monde a eu des enfants 😁 (Shaïnok a eu une fille ^^ j’espère qu’il est un bon papa 😋).
Maydwën, Loxsïa et leurs amis (les enfants des Érudits ainsi que la princesse Adarra) vont partir à l’aventure pour découvrir un continent oublié : Celeïstha.
Eh bien j’ai hâte d’apprendre à les connaître et de voyager à leur côté. Pas toi ?
Bon sang ! Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde dans ce livre. La plume de Sophie a tellement évolué depuis “Les cristaux de la Destinée”.
Ce tome reprend là où se termine le second, et on peut dire que Xortius est vraiment détestable et sans coeur (et ça ne va pas aller en s’améliorant au fil de l’histoire). Eïmina va devoir faire des choix, elle va devoir prendre sur elle, et écouter sa raison plutôt que son coeur. Heureusement ses Érudits seront là pour la guider si besoin (même si, à un moment de l’histoire, celui où elle aura le plus besoin d’eux, ils la laisseront livrée à elle-même…).
Dans ce tome, nous connaissons enfin l’identité du dernier Érudit et nous assistons au combat final 🙁 (rolala… mon dieu….).
J’ai dévoré ce tome ! J’ai eu énormément de mal à refermer le livre que j’ai lu en 2 soirées. Impossible de souffler. Impossible de laisser Mina et ses compagnons. Moi qui lis juste avant de dormir, j’ai du me relever le premier soir pour reprendre ma lecture ; je ne pouvais pas m’arrêter comme ça. Je devais savoir ce qui allait se passer, d’autant plus que, connaissant S.Owl, je m’attendais à une catastrophe à chaque page. Ici, je ne te spoilerai pas en en disant trop mais… Elle ne nous épargne rien.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, j’ai détesté Eïmina dans ce tome. Je sais qu’elle est l’héroïne de la saga, mais beaucoup de ses actions dans ce dernier tome m’ont déçue et je me suis rendue compte qu’en réalité, j’étais attachée à des personnages secondaires plutôt qu’à elle.
Rassure-toi : avec tous les personnages qu’il y a dans Alécanthia, tu trouveras forcément ton chouchou :p
Je t’avoue que, tout comme son auteure, ça me fait un petit quelque chose de refermer ce livre, de laisser les personnages derrière moi (même si de nombreuses “ouvertures” sont faites tout au long du livre si Sophie se décide un jour à prolonger l’aventure).
Bref ! Cette conclusion de trilogie m’a complètement embarquée et j’espère qu’elle en fera de même avec toi.
Le livre est disponible sur :
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