Répugnante réputation – La Demoiselle et le Mousquetaire (T.2.5)

Joséphine a été invitée par madame Catherine de Lénoncourt chez elle. Poussée par son père qui fréquente de plus en plus la veuve, la demoiselle s’y rend en ce jour pluvieux de mai.
Alors qu’elles discutaient du comte, Madame de Lénoncourt reçoit un courrier. Quelqu’un aurait des informations concernant son époux. Celles-ci pourraient ternir sa réputation. Joséphine lui déconseille de se rendre au rendez-vous qui a lieu dans un lieu public, en plein milieu de la nuit.
L’aristocrate envisage sérieusement de se rendre au rendez-vous. Elle regrette que monsieur de Faulcon de Montessant ne soit pas là pour l’accompagner. Cela donne une idée à Joséphine… (va-t-elle de nouveau se déguiser en mousquetaire ?).

Madame de Lénoncourt se rend au rendez-vous, accompagnée du “mousquetaire” Le Guillat (ça te rappelle quelque chose ? 😁)

L’homme qui a envoyé le courrier est Monsieur d’Arvieux. A priori, il ne fait pas partie du cercle d’amis de Catherine de Lénoncourt : il pointe un pistolet sur elle.
Ah ! L’homme en veut à Catherine d’avoir terni sa réputation et de l’avoir évincé de la cour. Elle a dévoilé ce qu’il faisait : il ruinait la réputation de jeunes femmes de bonnes familles pour leur faire épouser des vieux qui le payaient.

Oh la vache ! Il tire ! Heureusement, il rate sa cible. Les 2 femmes s’enfuient, mais l’homme les rattrape bien vite. Quand il braque de nouveau l’arme sur la comtesse, Joséphine s’interpose en oubliant son rôle. Quand il tire de nouveau, la demoiselle bondit sur Catherine. De colère, monsieur d’Arvieux la jette dans les ronces et tente d’étrangler madame de Lénoncourt. Faisant preuve de présence d’esprit et de réactivité, Joséphine attrape le pistolet qui était tombé au sol et assomme l’homme. La comtesse la presse de quitter les lieux pendant qu’elle va prévenir la police pour faire arrêter l’homme.

Une semaine plus tard, madame de Lénoncourt se présente chez les Galtier pour raconter la suite de l’histoire à Joséphine. L’homme a bien été incarcéré et le restera un long moment.

Joséphine est surprise par les échanges entre la comtesse et son père. Sans aucune doute, ils sont intéressés l’un par l’autre. Catherine dit à Joséphine qu’elle ne doit pas s’occuper de l’avis des autres et surtout, qu’elle doit écouter son cœur (si tu as lu le tome trois, tu verras que ce conseil prend tout son sens…).

Et la fin est parfaite ! Elle est la parfaite transition avec le tome suivant ! [fermer]