/!\ Ce tome est le troisième de la saga. Dans la suite de cette chronique, il y a donc de forte chance pour que je parle de choses qui se sont passées dans les tomes précédents dont tu peux lire mes avis ici.
Si tu n’as pas lu les tomes précédents ou si tu ne les as pas finis, ne poursuis pas la lecture de cet article
Date de parution : Avril 2020
Quand le corps congelé de Michelle Coltrane, une jeune femme de 25 ans, est retrouvé à Springfield, l’inspecteur Azor Streyes se lance sur la piste du meurtrier. Mais son enquête prend une nouvelle tournure lorsqu’un autre cadavre est découvert à Tulsa.
Son nom ? Michelle Coltrane ! Et les morts s’enchaînent : à Santa Fe puis Los Angeles, deux autres corps sont retrouvés…
L’inspecteur Streyes soupçonne une joggeuse d’avoir alerté la police pour chacune des découvertes macabres mais sa piste tourne court quand il apprend que c’est un vieil homme qui a signalé le cadavre de Tulsa…
Parviendra-t-il à stopper cette vague de meurtres ? Quelle est la signification du papillon tatoué sur le cou des victimes ? Le Morpho bleu nous offre une enquête complexe qui happe le lecteur dès les premières pages !
L’auteur m’a contactée sur SimPlement. J’aime les thrillers pour lesquels, tout au long de ta lecture, tu essaies de deviner qui est le tueur. Du coup, ça m’intrigue 🙂
Le livre s’ouvre sur un prologue dans lequel on assiste à la “préparation” de la mort d’une des victimes. On essaie de la noyer plusieurs fois, puis, on l’enferme nue dans une chambre froide ou elle vivra ses derniers instants. C’est assez horrible…
Rolala… On nous “présente” beaucoup de personnages. Tom Harding (un vieil ami de Azor), Juliana Dixon (une rousse avec qui Azor passe la nuit après la soirée de son ami) et enfin Michelle Coltrane (une jeune musicienne). J’imagine que ce n’est pas le fruit du hasard et que chacun d’eux va avoir son importance.
Ce lundi 3 mars 2031, le corps d’une femme a été retrouvé dans un jardin d’enfant (la victime du prologue peut être).
Azor est contacté par un confrère de Tulsa. Ils ont fait une découverte similaire la veille. Leur victime est Michelle Coltrane (je t’avais dit qu’elle avait de l’importance…).
Oh bah mince alors ! Michelle Coltrane est aussi la victime d’Azor. Comment c’est possible ? D’ailleurs, un troisième corps (le même) est découvert à Los Angeles.
Azor fait des recherches : Michelle Coltrane étudie le théâtre à Boston et est une élève assidue. Il décide de se rendre sur place.
Là-bas, il découvre qu’elle était très proche d’une artiste, Helen Fusset, dont l’université a perdu la trace. Cependant, Azor est persuadé de l’avoir croisé la veille. Néanmoins, son séjour à Boston ne s’éternise pas : un nouveau cadavre a été découvert à Santa Fe.
Azor rentre dans l’Illinois et va interroger le légiste. Selon ce dernier, le procédé utilisé sur la victime est la cryogénisation. On envisageait peut-être de la congeler pour la ressusciter plus tard ? (Oui c’est étrange).
Tiens… En plus d’avoir des victimes similaires, les personnes qui ont découverts les corps se ressemblent aussi, laissant penser qu’il s’agit de la même personne.
Un fait troublant retient l’attention d’Azor : les cadavres semblent “suivre” le trajet de la route 66.
On a souvent l’information de la date du jour. Ça nous permet de suivre l’évolution de l’enquête en temps réel.
Une cinquième victime est découverte. Cette fois, il s’agit de Susan Ellington. Le corps est dans le même état que les précédents.
Ah bah d’ailleurs toutes les autres victimes ont pu être identifiées grâce à leur ADN. Il n’y a pas de doublon 🙂 Pour le moment, mis à part que les cadavres suivent la route 66, le seul “lien” serait leurs noms : ils correspondent à des musiciens de jazz décédés (pour le coup, je n’ai pas toutes les ref’). Les victimes ont à peu près le même âge et, étrangement, la première lettre du nom de famille de chaque victime suit l’ordre alphabétique. Cependant, il manque le “D”. Aurait-on raté une victime ?
Tiens… Susan avait un papillon bleu dans le cou, tout comme Michelle il me semble.
Oula ! Ça prend une autre tournure quand on découvre une sixième victime, Denise Davis, enfermée et découpée en six morceaux dans un caisson isotherme.
Dans la ville où la victime a été découverte, une vente aux enchères de tableaux est prévue. Six tableaux. Chacun d’eux est signé par des initiales correspondant à celles des victimes.
Je pense que la personne qui a signalé deux des six victimes est dans le coup mais qu’il s’agit de jumelles .Ah bah voilà 🙂 C’est confirmé : Mel et Kim Sawyer.
J’avoue que je suis un peu perdue dans ma lecture. J’ai l’impression qu’on part dans tous les sens, que des indices sont semés à droite et à gauche. J’ai du mal à suivre (mais j’imagine que c’est lié à mon état de fatigue du moment).
Ah bah justement, les jumelles sont à la vente de tableau et ont acheté les six pour la somme de 100 000 dollars chacun 😮
Est-ce que Tom, l’ami d’Azor, est lié à tout ça ? Ce serait trop facile, trop prévisible… En tout cas, plusieurs faits sont troublants. Pour commencer, lors d’un vernissage, il met en avant, en tant qu’œuvre principale, un tableau qui ressemble à ceux de la vente aux enchères et qui contient les initiales HF (comme Helen Fusset, la coloc’ de Michelle). Ensuite, sa compagne du moment, Connie, a un tatouage de papillon bleu sur l’omoplate, comme les victimes.
Connie est une guérisseuse magnétique et a aussi un diplôme universitaire d’hypnose.
Azor est sur une piste : chaque visage des victimes a été sculpté une fois congelé. Un travail d’orfèvre.
J’avoue avoir de plus en plus de mal avec le personnage d’Azor. Je le trouve hautain et imbu de lui-même. La façon dont il parle de ses enfants, avec tant de détachement et de froideur me met mal à la l’aise et je n’apprécie pas vraiment sa “vision” des femmes.
Tiens, comme par hasard, l’une des policières, Sandra Taylor, a fait une promesse avec des amis d’enfance : celle de sauver le monde. Sa copine de l’époque est artiste peintre et leur ami est environnementaliste. Ça pourrait coller avec notre histoire… Surtout que c’est souvent Sandra qui met les policiers sur une piste. D’ailleurs, la dernière en date semble prometteuse. Il se pourrait que les policiers aient trouvé le lieux où les victimes ont été noyées : dans un lac de la Nouvelle-Orléans. Et fait encore plus troublant : l’amie de Sandra, Hana, possède le même prénom que la sculptrice qui a gagné un concours de sculpture sur glace. Il se pourrait même qu’Hana Forbes et Helen Fusset soient une seule et même personne.
D’après les médecins légistes, les victimes auraient été empoisonnées par de fortes doses d’injection de Botox, entraînant des paralysies musculaires.
Je ne sais pas si c’est la fatigue ou l’écriture mais, en réalité, je ne comprends rien aux explications du médecin légiste 😅
L’enquête d’Azor dérange. Il a failli se faire renverser, et maintenant, il y a de fortes chances pour que les coupables se soient rapprochés de son fils. Quelqu’un essaie-t-il de l’intimider ?
Les sœurs Sawyer sont les propriétaires du café où a eu lieu la vente aux enchères, mais aussi de la salle de sport qui semblait être un élément “reliant” entre chaque victime. Bref, tout se dirige de plus en plus vers elles.
Plus on avance dans l’histoire et plus j’ai l’impression que c’est à une organisation plus complexe que nous avons affaire.
À quinze ans, Hana Forbes semble avoir découpé à la tronçonneuse ses parents et avoir enfermé son frère à clé dans sa chambre Elle a été placée en hôpital psychiatrique, soignée et libérée à sa majorité. Cependant, d’autres empreintes récoltées ce jour-là laissent penser qu’elle n’était pas seule et qu’une autre personne de son âge était présente (Sandra Taylor ?).
Grâce à un ami militaire, Azor découvre plus d’informations sur Hana Forbes (dont le dossier est classé secret défense). Elle aurait été approchée à sa majorité par l’armée et aurait suivi un entraînement militaire. Pourtant, elle n’avait pas une mentalité guerrière, alors, les militaires l’ont remercié, lui ont donné de l’argent et une nouvelle identité (Helen Fusset).
C’est bizarre ce qui est arrivé à Darren, le frère d’Hana. Il a été adopté par les Smith, un couple sans enfant et sans argent. Puis un jour, on l’a changé de famille, et les Smith sont devenus hyper riches, comme s’ils avaient vendu le petit.
Moué c’est un peu ce qu’il s’est passé. Il a été adopté par les parents des sœurs Sawyer. À l’époque, les jumelles s’intéressaient à Helen Forbes (la mère d’Hana et de Darren) qui était une peintre très reconnue. Elles ont voulu subvenir au besoin du frère et de la sœur à la mort horrible de leurs parents.
On découvre qu’Hana a dupé l’armée : en réalité, elle a un fort caractère et n’a peur de rien… C’est donc une manipulatrice…
Bon…Je ne sais pas trop pourquoi, Azor se retrouve à être emmené en avion par les sœurs Sawyer. Elle le droguent pour garder l’endroit où elle l’emmène secret : le plus grand gisement de fer magnétique du pays (je suis complètement larguée).
Oh bah les sœurs lui racontent un peu tout. On est d’accord qu’elles avouent à demi-mot être liées aux meurtres, non ?
L’un des policiers enquête sur une entreprise de cryogénisation. Cette dernière semble également mener des expériences sur des papillons bleus… Comme par hasard, l’homme disparaît.
J’ai l’impression que le morpho bleu, le titre du livre, concerne en réalité un nouveau satellite (il prendra des mesures et, d’après ce que j’ai compris, pourrait être utile pour trouver un moyen de sauver la planète ; j’avoue que j’ai du mal avec tout ça : l’écologie et l’environnement ne sont pas des sujets qui me passionnent…).
Eh voilà… Encore une histoire pour nous paumer : celle de Julianne Dixon, son ex-mari Jordan, et leur fils, Paul. En gros, Julianna a eu une aventure avec Raymond Sawyer (qui est le père biologique de Paul). Raymond lui a payé une formation pour apprendre à piloter un Falcon, son avion. Quand Jordan a compris que ça femme l’avait trompé et avait eu un enfant illégitime, le policier (qui buvait beaucoup), l’a violentée. Julianne suivait des cours d’art à l’université boston (les cours de Tom avec qui elle a lié une amitié). Quand son mari l’a battue une fois de trop, elle a appelé Tom qui s’est battu avec Jordan. Ce dernier a fait une mauvaise chute et est handicapé (étant donné la situation, aucune plainte n’a été déposée contre Tom). Fiou… C’est d’un compliqué toute cette histoire… Mais si on doit retenir une chose, c’est que Julianna devait surveiller Azor (même si je pense qu’elle s’est réellement attachée à lui).
Rolala… Maintenant, on parle de dauphins magnéto-réceptif et de morphos bleu magnéto-réceptifs également, entraînés par l’armée.
Bon bah en gros, tous les personnages qu’on a rencontrés sont plus ou moins liés aux meurtres sous couvert d’une organisation appelée la Toile (la vache, je trouve que c’est bâclé les révélations :/).
*** Long soupir ***
Connie a hypnotisé toutes les filles (qui sont mortes) pour qu’elles couchent avec Raymond Sawyer. Voilà… Je pose ça là, comme c’est arrivé dans le livre.
Ah bah non. En fait, Connie les hypnotisaient pour que Ray puisse observer leur tatouage. Alors la… Je n’y comprends rien 🙁 Plus j’avance dans le livre et moins je comprends de choses. Je pense que je suis complètement passée à côté de cette lecture…
On sent que l’auteur a fait beaucoup de recherches pour le livre. Personnellement, je suis noyée sous les informations et je n’arrive pas à sortir la tête de l’eau. Je me perds dans la lecture et au final, je n’y comprends rien.
En tout cas, même si moi je suis paumée, Azor ne l’est pas. Il me semble avoir compris le déroulé des évènements et le noms des six femmes responsables de la mort de six autres femmes.
Les filles ont été choisies en raison de leur phototype (réaction de leur peau à l’exposition solaire). Le but était de tester la dégradation du tatouage sur des peaux différentes (d’où ‘le morpho bleu tatoué sur chacune des victimes et que Raymond observait régulièrement). À cause des scènes de peinture en lévitation (générée par un fort aimant), les filles ont été fortement exposées à un champ magnétique et cela a dégradé leur état de santé. Une fois tous les tableaux peints, elles étaient gravement malades. On a choisi de les éliminer. Elles ont donc été conduites dans un endroit où des tests sont fait sur la cohabitation de dauphins et morphos bleus qui réagiraient au champ magnétique. Une fois épuisées par les attaques répétées des dauphins et papillons, on les a enfermées dans un camion frigorifique où elles sont mortes, congelées.
Pour Azor, voilà les coupable : Juliana, Mel et Kim Sawyer (les jumelles), Connie, Sandra Taylor et Dana Ridorff (l’ex-femme de Raymond Sawyer et la fondatrice de la Toile).
Mais Azor a aussi un autre scénario dans lequel il y a six coupables différents : Dana, Raymond,les jumelles, Abigor et sa sœur, Connie.
Bon bah… Finalement, on ne sait pas vraiment qui est le coupable. On sait juste que tous les membres de la Toile ont été sacrifiés, maintenant qu’ils ont récolté l’argent dont ils avaient besoin. Et je sens que Tom, Helen et Darren sont partis se suicider (mais en vérité, je n’ai pas tout compris à la fin :/ ).
J’ai été contactée par l’auteur le jour de mon inscription sur SimPlement. Étant donné que j’apprécie les thrillers et que j’aime me plonger dans une enquête, j’ai accepté sa proposition.
Six corps de femmes nues sont retrouvés le long de la route 66, aux Etats-Unis. Les cadavres congelés présentent des similitudes. S’agit-il d’un tueur en série qui sévit dans le pays ? L’inspecteur du FBI, Azor Streyes, est chargé de l’enquête. Celle-ci lui fera parcourir le pays et coopérer avec d’autres policiers locaux. Cependant, son enquête s’avérera plus complexe et l’entraînera sur des chemins auxquels il ne s’attendait pas.
J’ai eu énormément de mal à entrer dans l’histoire. En général, j’aime ce genre de livre où je me plonge à fond dans l’enquête pour découvrir le ou les coupables. Cependant, ici, j’ai eu la sensation que le livre partait dans tous les sens. On découvre énormément de personnages (qui ont chacun rôle à jouer, certes, mais c’est assez déroutant). On voyage d’une ville à une autre, ce qui rend l’enquête plus complexe (elle est d’ailleurs assez longue à démarrer). Et surtout, le livre rassemble beaucoup de sujets/thèmes, dont certains auxquels je n’adhère pas. Le livre parle de politique, d’art, d’environnement, d’écologie, de la lumière et des couleurs, etc… C’est hyper dense et on s’y perd.
À certains moments du livre, j’étais complètement prise dans l’histoire et j’enchainais les pages sans m’en rendre compte, et à d’autres, mon cerveau lâchait l’affaire et je ne faisais que bailler. En réalité, tous les sujets, personnages et lieux m’ont tellement perdue que j’en ai oublié l’enquête et que je ne comprenais plus rien à l’histoire. C’est dommage.
Dans chacune de mes lectures, l’attachement au personnage principal est hyper important. Si je ne me sens pas proche de celui-ci, il y a peu de chance que j’apprécie le livre. Malheureusement, j’ai détesté le personnage d’Azor (qui est notre narrateur principal). Je l’ai trouvé hautain et imbu de lui-même. Je n’ai pas adhéré à certaines de ses réactions vis-à-vis des femmes ou même dans la façon dont il nous parle de ses enfants (ça me paraissait tellement froid). Impossible pour moi de m’attacher à lui…
Finalement, cette lecture n’était pas pour moi. Je suis complètement passée à côté. D’ailleurs, maintenant que j’ai refermé le livre depuis quelques jours, eh bien je n’ai toujours pas compris qui était le tueur ni ses réelles motivations (si quelqu’un veut bien m’expliquer, qu’il n’hésite pas 😂)
Le livre est disponible sur :
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2 commentaires
Merci à vous Pénélope d’avoir pris le temps de lire mon roman, même si cela a été pénible et fastidieux pour vous. Si, comme vous l’écrivez, le roman rassemble des thèmes auxquels vous n’adhérez pas, partant de là, la suite est compliquée. Cette enquête n’était visiblement pas faite pour vous. Je vous dis peut-être à bientôt pour mon prochain roman qui sera très différent.
Jean-Louis
C’est ça, je suis passée complètement à côté. Cependant, on sent le gros travail de recherches et préparation qui a été fait pour apporter le plus de précision possible à l’enquête, et ça, c’est très appréciable 🙂