/!\ Ce tome est le troisième de la saga. Dans la suite de cette chronique, il y a donc de forte chance pour que je parle de choses qui se sont passées dans les tomes précédents dont tu peux lire mes avis ici.
Si tu n’as pas lu les tomes précédents ou si tu ne les as pas finis, ne poursuis pas la lecture de cet article
Date de parution : Mai 2020
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça
J’avais déjà entendu parlé de Joël Dicker, mais je ne l’ai jamais lu. Un jour, en regardant la télé, je suis tombée sur une présentation de ce livre et je me suis dit “pourquoi pas“. Voilà tout simplement pourquoi je me le suis procurée (je t’avais pas déjà dit que j’étais une acheteuse compulsive ?).
On ne perd pas de temps. Nous voilà le 16 décembre. Le room service découvre un cadavre sur la moquette de la chambre 622. C’est comme ça que commence le livre.
Et ensuite, on est plongé dans une première partie de l’histoire, celle avant le meurtre.
En tout cas, l’histoire semble tout de suite réelle et se passe en Suisse. Joël (c’est celui qui nous raconte l’histoire (et qui semble être l’auteur au passage)), va aller au Palace de Verbier pour se ressourcer après des événements personnels (la mort de son éditeur et sa rupture avec son coup de foudre).
Ah mais attends ! Tout ce qu’il raconte pour le moment est vrai (son éditeur existait vraiment, l’hôtel existe). Est-ce que ça peut être une histoire vraie ? Ça me parait improbable quand même. Fiou ça me perturbe tout ça.
23 juin 2018, départ de Joël pour l’hôtel. Au vue de la description qui en est faite, il est un peu à l’écart de tout, et la vue semble splendide. Un palace quoi :p
Bah chelou… L’Ecrivain a la chambre 623. En longeant le couloir, il regarde les numéros. La 622 n’existe pas mais il y a une 621 bis à la place. Quand il en parle au groom, celui-ci ne donne aucune explication (j’avoue que je suis curieuse et que, comme lui, ça va me trotter dans la tête temps que je ne saurai pas pourquoi c’est comme ça).
Tsss… Le véritable explication (enfin celle donnée par le concierge de l’hôtel) est nulle à chier… Lors de la construction de l’hôtel, deux plaque 621 ont été posées. Plutôt que d’en remplacer une par 622, le proprio de l’époque a préféré ajouter un « bis » à l’une des 2 plaques (je t’avais dit que c’était nul…). Heureusement, en pleine explication de « comment écrire / commencer un roman » à Scarlett, sa voisine de chambre, l’Ecrivain va essayer d’inventer une intrigue autour de cette chambre 622… Il lui dit que, dans le roman, et pour relancer l’histoire, le concierge ment. Pourquoi ? Que cache-t-il ?
Ahhh Scarlett ! Heureusement que tu es là ! On va peut être connaître le mystère ! Elle n’a pas lâché l’affaire et, dès le lendemain matin, elle débarque dans la chambre de Joël. Il y a eu un meutre dans cette chambre, voila pourquoi on l’a caché (du coup, un autre meutre que celui du début du roman ?).
Et voilà c’est cette petite londonienne qui va chambouler les vacances de l’écrivain en le plongeant dans cette enquête imprévue ^^
Bon… j’y comprends plus rien… on est dans la première partie qui s’appelle « avant le meutre« , mais en fait celui dont on parle est bien le meurtre du début du livre. Du coup, je pense que par la suite, on va avoir des infos sur « comment était l’hôtel avant ce 16 décembre« .
Pour être honnête j’ai un peu de mal à accrocher à ce début de livre. Mais maintenant que la pseudo enquête est lancée, j’espère que je vais davantage rentrer dedans.
C’est exactement ça. Nous voilà au chapitre 3. Cette fois, nous sommes avec quelqu’un d’autre, le 9 décembre, soit 7 jours avant le meutre.
Nous suivons donc Macaire Ebezner, un homme marié de 41 ans, qui va prochainement devenir le président de la plus importante banque privée de Suisse. Il semblait en mission en Espagne, pour récupérer une liste…Iil semble à la recherche d’un homme. Qui ? Pourquoi ? Perez, l’homme qui l’accompagnait, a été arrêté par la police espagnole et Macaire a peur de se faire chopper. Fiou ! Tant de questions sans réponse pour le moment… En tout cas, le voilà en vol pour Genève.
Bon… voilà ce qu’on sait : quelqu’un tend un piège à Macaire : l’article dans le journal semble être une ruse, un faux. D’après ce que je comprends, il ne va pas du tout avoir le poste de président, mais pour le moment il ne le sait pas. En tout cas, cette même personne le suit, et va jusqu’à l’épier dans sa propre maison.
Depuis 12 ans, Macaire semble mener une double vie que même sa femme, Anastasia, ne connait pas. Il prend des notes de son secret dans un carnet caché dans un coffre fort derrière un tableau. Pour protéger encore plus ses notes, il les écrit à l’encre sympathique (une mixture d’eau et de citron) qui rend le texte transparent. Quiconque trouvera son cahier pensera qu’il est vide (sauf s’il connaît la ruse).
Aïe aïe aïe. Tout ce que je déteste. Apparemment on va pas mal jongler entre « avant le meutre » et maintenant. J’espère qu’on va clairement savoir quand on est, sinon ça ne va pas me plaire…
Scarlette arrive à convaincre Joël de mener l’enquête avec elle, d’essayer de la résoudre, puis d’écrire un roman sur ce mystère. Elle parle même d’y intégrer « comment ils ont découvert qu’il n’y avait pas de numéro 622« . Une fois encore ça donne vraiment la sensation que ce livre est une histoire vraie 🙂 En tout cas, leur enquête commence et elle débute au moment du Grand Week-End de la banque Ebezner au Palace. Cet événement est une sorte de grosse réunion d’entreprise où tous les employés sont invités. Ils ont quartier libre la journée, et le samedi soir c’est une sorte de grand meeting où les annonces liées à la banque sont faites.
Pendant près de 300 ans, la présidence de la banque se faisait de père en fils. Mais avant sa mort, Abel Ebezner a décidé de changer les règles : à présent, les 3 membres restant dû conseil nommeront le président, non pas à cause de son nom mais au mérite.
Macaire est persuadé qu’il va « hérité » de la présidence de la banque parce qu’il fait partie de la famille fondatrice. Mais rien n’est moins sûr…
Sûr de sa nomination, Macaire tombe des nues ! Son assistante, Cristina, a surpris une conversation. Ce n’est pas lui qui va être nommé président, mais Lev Levovitch, son rival, qui va l’être.
Oh mais en fait, Abel en voulait à son fils depuis 15 ans ! Quand il a été nommé président, Macaire avait reçu des parts dans la banque et était nommé vice-président. Mais pour une raison inconnue, il a vendu ses parts à Sinior Tarnogol, un russe. Son père ne lui a jamais pardonné cette trahison, le fait qu’il ait brisé le pacte fait par son aïeul, le fondateur de la banque.
Quoi qu’il en soit, pour le moment, il est quasi midi et Levovitch n’est toujours pas là. Lui serait-il arrivé malheur ?
Oh purée ! Il a une relation avec Anastasia, la femme de Macaire 😮 Je sens que ce dernier va péter un câble quand il va le découvrir, surtout qu’il se dirige vers l’hôtel où vit Lev…
Bon bah en fait il ne découvre rien, tout le monde se loupe à quelques minutes d’intervalle. Sa femme ayant décidé de quitter son amant pour préserver l’intégrité de son mari, je ne sais pas s’il va l’apprendre un jour (cela dit, Levovitch ne semble pas avoir compris qu’Anastasia le quittait…).
Ah bah voilà ! Macaire bosse pour les services de renseignement suisse ! En gros, il bosse sur le dossier p-30 qui consiste à surveiller ce que les pays alliés européens décident et mettent en place pour éviter l’évasion fiscale vers la Suisse. Comme il agit en civil (sous la couverture de son statut de banquier), la Suisse ne met pas en péril ses relations (ce qui serait le cas si les pays voisins apprenaient qu’elle y envoyait des agents des services de renseignement). Bof bof cette histoire. Ça m’emballe pas des masses comme explication, javoue.
Hannn c’est une sacré pourriture ce Macaire. Il va raconter des histoires sur Lev à Tarnogol pour qu’il change d’avis sur sa nomination à la présidence. Le pire, c’est qu’il gobe tout ! Lui et Macaire font un pacte : le banquier récupère un courrier et le lui apporte chez lui ; en échange, l’actionnaire le nomme président de la banque. Un poil trop facile.
Ah bah, Anastasia est retourné dans les bras de lev. Ce n’est pas fini au final…
Et Tarnogol apprend que Macaire lui a menti sur Levovitch et lui confirme qu’il n’aura pas la présidence. Décidément, rien ne va pour le banquier.
Décidément, ce Macaire n’est vraiment pas sympa… Pour faire en sorte que Tarnogol lui soit redevable et le nomme président, il va essayer de lui sauver la vie en essayant de le tuer. Avec son cousin Jean-Bénédict, ils élaborent un plan pour faire comme si ce dernier allait les renverser et que Macaire sauve Sinior. Jean-Béné lui fait comprendre qu’il n’est pas sûr de son coup. Ebezner le prend super mal et tente de le faire culpabiliser.
Pendant ce temps, Anastasia a rdv à 19h avec Levovitch. 4h30 plus tard, il n’est toujours pas là. Finalement, peut-être que Macaire n’aura pas à mettre son plan fou à exécution.
Ah bah non il n’est pas mort. Il a décidé de lui poser un lapin. J’ai du mal à vraiment comprendre pourquoi cela dit… Apparemment il y a 15 ans, il a pris une mauvaise décision. En rapport avec Anastasia peut-être ?
Bon je comprends pas tout. Lev n’a volontairement pas été au rdv avec Anastasia. Le lendemain il lui fait croire qu’il avait une grosse réunion d’affaires d’état, d’où son absence, et lui propose de tout plaquer pour partir loin tous les 2. Il lui dit même qu’il l’aime. Pourquoi il joue comme ça avec elle ? Par vengeance ?
Hum hum… Elle a eu le coup de foudre pour lui 16 ans plus tôt, lors du Grand Week-End de la banque. A l’époque, la mère d’Anastasia, Olga, cherchait à les caser elle et sa sœur. Lev ne bossait pas à la banque, il était bagagiste de l’hôtel.
Pfff ça devient du n’importe quoi. Abel faisait aussi partie du p-30. Le changement d’héritage de la banque était pour évincer Tarnogol de la présidence. Apparemment Sinior travaille pour le renseignement russe. Comme Macaire a tout fait foirer, Wagner (son correspondant à la P-30) lui demande tout simplement de tuer Tarnogol. Oué… rien que ça.
Bon le mort du début, c’est Macaire. Pour moi, il y a 2 coupables possibles : soit c’est Tarnagol qui l’a tué, soit c’est Wagner. J’espère qu’on va le savoir avant la fin du livre… le crime est quand même non résolu, du coup y a forcément quelqu’un qui étouffe l’affaire non ?
On en sait un peu plus sur Levovitch. Bah c’est un surdoué. Il n’a jamais fait d’étude dans le domaine de la finance, mais il apprend vite, il est doué et parle une dizaine de langues (oui, rien que ça). Tout le monde l’adore (ce qui rend extrêmement jaloux Macaire). Pour être honnête, il me plaît bien aussi, je le trouve sympathique et attachant.
Pouah ça m’agace de plus en plus cet « accent » que l’auteur a voulu donner à Arma l’employée de maison des Ebezner. Ca n’apporte rien du tout et c’est limite offensant pour les Albanais…
Oh j’ai l’impression que le rythme s’accélère (il était temps !).
Alors que Lev et Anastasia devaient s’enfuir, le banquier lui dit qu’il va encore falloir patienter 2 jours. Il a un mauvais pressentiment au sujet du grand Week-End et sent qu’il doit s’y rendre. Anastasia rentre donc chez elle pour patienter, mais quelqu’un est à son domicile. Le cambrioleur prend peur en la voyant revenir et prend la fuite.
Zioup la ! Nouveau flash back, 15 ans plus tôt. On apprend comment Anastasia, alors follement amoureuse de Lev (et c’était réciproque), s’est retrouvée à vivre chez Macaire et ses parents.
Retour dans le présent (enfin… pas dans celui de l’Ecrivain et Scarlett mais dans celui de Macaire). Le voilà au Palace Verbier pour le Grand Week-End. Il doit parler à Tarnogol. Ce dernier sait que Macaire et lui (et même Anastasia) sont en danger. Quand Ebezner appelle sa femme, il apprend pour le cambriolage et menace Sinior qui lui affirme qu’il n’y est pour rien, que c’est un coup de la p-30 (c’est vrai que quand Macaire est parti, Wagner était dans le coin…).
Oh mais bon sang ça m’agace ! Macaire a dit à Anastasia où se trouvait son « cahier secret ». Pour être en sécurité, sa femme est allée se réfugier dans la suite de Lev où elle a lu le cahier et a découvert la double vie de son mari. Mais ce n’est pas tout : elle sait contre quoi Macaire a cédé ses parts à Tarnogol. Ça la bouleverse. On ne sait pas de quoi il s’agit (et c’est ça qui m’énerve), mais je pense que Sinior la pousse à quitter Lev, probablement en lui racontant des mythos…
Eh bien Abel aimait beaucoup Lev. C’est lui qui l’a fait entrer dans la banque. 15 ans plus tôt, il trouvait déjà que la question de l’héritage était débile, et je crois qu’il pensait déjà que Lev était plus méritant que son propre fils, Macaire.
Abel a pris Lev sous son aile et lui a appris tout ce qu’il savait. Macaire en était jaloux.
Anastasia, qui travaillait à la banque, ne voulait pas dévoiler leur relation pour le protéger. Macaire était amoureux d’elle et pensait que c’était réciproque. Comme elle ne voulait pas le blesser et qu’il prenne Lev en grippe, elle ne l’a jamais contredit.
Retour avec Scarlett et l’écrivain. On en sait un peu plus sur le meurtre. En fait, c’est un stagiaire qui venait livrer un plateau qui a trouvé le corps. Dans ce qu’il venait livrer, il y avait de la Vodka beluga. La chambre 622 était cette de Tarnogol ! Si ça se trouve, Macaire était là au mauvais moment. Wagner a voulu se débarrasser de Sinior, il a tiré sans s’assurer qu’il s’agissait bien de lui et bam ! Pas de bol… j’espère qu’on aura le fin mot de toute cette histoire, mais pour le moment, ma théorie me plaît :p
Olga, la mère d’Anastasia est folle. On sait comment ça s’est terminé entre elle et Lev. En fait, Levovitch et Macaire lui avaient chacun donné rdv à 20h pour la demander en mariage. Elle a prévenu Macaire qu’elle ne voulait pas l’épouser et que c’était Lev qu’elle aimait. De colère, Macaire est allé tout raconter à sa mère (que Levovitch est pauvre). Olga a enfermé Ana dans la salle de bain.
Comme elle n’est pas venue, Lev a cru qu’elle avait accepté la demande de Macaire…
Woh ! Ça commence à devenir compliqué le livre. On jongle entre le temps présent, la période du meutre et 15 ans plus tôt. 3 histoires dans une… et chacune des histoires devient complexe. En toute honnêteté, j’ai hâte de finir cette (ces) histoire qui est tirée par les cheveux.
Purée… 3e partie. Je ne comprends plus rien… résumons.
Jean-bene a fait du chantage à Macaire et ce dernier lui a cédé toutes ses parts. Le cousin sera donc le président de la banque. Sauf que, quatre mois après le meutre, on apprendra que le cadavre de l’hôtel est ce fameux cousin. Du coup la logique veut que ce soit Macaire qui l’ait tué (même si ça me paraît beaucoup trop simple).
Logiquement, Lev et Anastasia sont partis ensemble. Concernant Tarnogol, qu’est-il devenu ?
Voilà donc où j’en suis avant de commencer cette partie. Allons-y.
Donc du coup, le nouveau président de la banque c’est Macaire.
Bon bah finalement ce n’est pas Macaire le meurtrier. Ana lui a laissé une drôle de note. Ça pourrait être elle ? Mais pourquoi ? Et pourquoi elle lui dit qu’elle disparaît mais que Lev est toujours à l’hôtel ? Est-ce qu’elle est partie avec Tarnogol (Macaire a échangé Anastasia contre la présidence). Fiou elle me saoule cette histoire. C’est trop long… comme si Dicker écrivait pour dire de remplir les pages mais ça n’avance pas…
Ah c’est pour ne pas éveiller les soupçons sur Lev n’est pas parti. Mais lui et Anastasia sont bien ensemble, à Corfou.
Macaire a reçu une lettre anonyme qui dit que les 2 amants se sont enfuis ensemble (alors que, pour lui, Ana a disparu et il ne sait pas où). Il se décide à tendre un piège à Lev qui bosse toujours pour lui…
Non mais pincez moi, je rêve… Voilà que maintenant, on apprend que Tarnogol n’était pas une vraie personne. Il semblerait que Jean-Bénédict se déguisait en Sinior (long manteau rembourré, masque en silicone). Mais ça ne colle pas… Le soir où lui et Macaire voulaient renverser Tarnogol, comment il aurait pu jouer les 2 personnages en même temps… Wagner ? Wagner serait Tarnogol ? Et tout ça serait une mise en scène pour tester Macaire ? Pouah ça me soule. C’est vraiment n’importe quoi.
Revenons-en au piège de Macaire. Aidé par Wagner (et donc la p-30), il place un mouchard sous la sacoche de Levovitch. Macaire veut savoir s’il est avec Anastasia et surtout s’il est à Athènes, comme il le prétend.
Tout ça se confirmant, Macaire voit rouge et veut se venger. Il place des preuves dans le bureau de Lev pour faire croire qu’il était le complice de Jean-Bénédict dans son rôle de Tarnogol.
A Corfou où sont Lev et Anastasia, on apprend que cette dernière avait découvert la supercherie de Tarnogol quelques heures avant le meutre.
Pfff ça me saoule ce remplissage. A environ 80% du livre, tu as des impressions de déjà-vu. Pourquoi ? Tout simplement parce que l’auteur reprend des passages passés pour les étoffer, pour avoir la suite. Mais du coup tu relis plusieurs lignes que tu as déjà lues auparavant…
Bon en fait, Sol Levovitch est celui qui a créé Tarnogol pour être une sorte de client mystère afin d’évaluer le service du Palace Verbier. Il s’est laissé emporter par le personnage quand il s’est rendu compte que la communication avec son fils était plus facile sous ses traits. Quand Lev a découvert la supercherie, il s’est lui aussi prêté au jeu et a voulu faire une blague à Macaire en lui échangeant ses actions contre Anastasia. Malheureusement, les blagues les plus courtes sont les meilleures et ça, Lev l’a oublié. Il n’a pas su s’arrêter.
Il semblerait que ce soit Anastasia qui ait tué le cousin Hansen ?
Fiou… mon avis est d’un bordel sans nom, comme ce livre ; ça part dans tous les sens…
Non mais ça ne s ‘arrêtera jamais ! Lev est aussi Wagner 🙁 pouah ce bouquin me saoule ! Qu’elle daube ! C’est vraiment n’importe quoi ! Donc du coup, la P-30 c’est du pipeau aussi ? (Allez courage ! Il reste 10% du livre à lire).
On continue… Lev est aussi le docteur Kazan, le psychothérapeute de Macaire… le policier chargé de l’enquête a tout compris. Lev et Anastasia sont arrêtés à Corfou. Néanmoins faute de réelles preuves, la police n’a pas d’autres choix que de les relâcher tous les 2.
Lev est vraiment tordu quand il explique tout à Anastasia. En fait, je ne suis même pas sûr qu’il se rende compte qu’il est allé trop loin. Cela dit, Alfred, son chauffeur est aussi dans le coup et il n’a jamais mis le hola non plus…
Macaire quant à lui semble avoir refait sa vie avec Arma et être très amoureux. Plus l’histoire avance et plus je me demande si, finalement, ça n’est pas Arma qui a tué Jean-Bénédict… comme elle est follement amoureuse de Macaire, je suis sûre qu’elle est prête à tous.
Crotte. Pensant bavarder avec un vieil ami, Lev explique tous ses personnages à Macaire. Sauf que ce dernier porte un micro. Lev se fait gentillement cueillir par les flics. 4 ans de prison pour Levovitch pour escroquerie, exercice illégal de la médecine et abus de confiance. A trop vouloir jouer avec le feu, on finit par se brûler Lev.
Trois ans après le meutre. Anastasia bosse dans un supermarché. Elle a divorcé de Macaire et a quitté Lev. Mais celui-ci lui manque. Elle l’aime toujours.
De leur côté Scarlette et l’Ecrivain essaient toujours d’élucider ce meurtre. Ce n’est finalement pas Arma. Elle était à l’hôtel mais a été intoxiquée et est restée à l’hôpital jusqu’au lundi matin.
Perso, il ne me reste plus qu’une idée : Mr Rose (oui je sais, tout le monde y est passé :p). Il était au courant que Lev jouait Tarnogol. Il l’a toujours considéré comme son fils. Là, il était en danger… Tuer le fils Hansen permettait de protéger le secret de lev (ça se tient non ?)
Oh bah mince alors. Mr Rose a tellement été touché par la chute et la condamnation de Lev qu’il s’est suicidé d’une balle dans la bouche 😮 Cela dit, il semble qu’il avait changé depuis le meutre (le poids de la culpabilité ?).
C’est qui qui a raison ? 😛
En tout cas, tout finit bien. Lev a hérité du palace. Il est marié avec Anastasia et ils ont 2 enfants. Alfred, lui, est le vice-président de l’hôtel.
Hum… Par où commencer… Bah par le plus simple : ça faisait un moment et un paquet de livres que je n’avais pas autant subi une lecture : j’ai détesté…
En gros, tu as une histoire générale. Dans cette histoire, tu as une seconde histoire où tu as parfois des flash-back de quelques mois. Puis, dans cette histoire, tu as celle du meutre. Dans l’histoire du meutre, tu as des flash-back de 15 ans plus tôt. Donc tu as 6 histoires ; déjà pas facile à suivre.
Dans le livre, tu as beaucoup de blabla, comme si le but de Dicker était d’atteindre un quota de pages. C’est souvent sans intérêt. Perso, le seul récit qui m’intéressait était celui lié au meutre, le reste on s’en fiche.
Et plus tu avances dans le bouquin, plus c’est tiré par les cheveux, plus c’est abracadabrantesque (et la fin c’est une succession de grand n’importe quoi). Cela dit, en relisant mon avis au fil de ma lecture, je me rends compte que quelques indices étaient glissés ça et là…
Enfin, quoi qu’il en soit, je ne te conseille absolument pas ce livre. Quand je n’ai pas aimé un livre, j’aime aller lire les avis des autres. J’ai vu qu’ils sont assez partagés, mais tu n’as pas de demie mesure : soit tu as adoré, soit tu as détesté. En tout cas, pour beaucoup, c’est l’un des pires livres de Dicker… Dommage.
Le livre est disponible sur :
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Un commentaire
J’avoue que l’histoire en sois me parle moyen ! Surtout si on voyage dans d’autres périodes c’est tout ce dont j’ai du mal si il y en a trop !!!
Déçu pour toi que ça est été un flop 🙁