Un Palais de Colère et de Brume (T.2)

Feyre est aidé dans la préparation de son mariage par l’une des douzes Grandes Prêtresse, Ianthe. Je ne lui fais pas confiance. Elle semble avide de pouvoir… Elle dit à la nouvelle Grande Fae qu’ensemble (Tam, Feyre, Lucien et elle), ils deviendront une grande puissance.

Bon pour le moment je m’ennuie. Mais dans le premier tome, j’avais trouvé le début long avant de m’y mettre vraiment. Ça sera peut-être la même chose.

Lucien essaie de raisonner Feyre et de cautionner le fait que Tamlin l’empêche de sortir du domaine. Il lui demande de lui donner du temps et l’emmène néanmoins dans un village tout proche. Là-bas, les gens refusent l’aide qu’elle leur propose. Selon Lucien, Feyre leur rappelle ce qu’ils ont vécu Sous la Montagne, leurs traumatismes…

Le jour de son mariage, Feyre doute et refuse d’avancer vers l’estrade pour sceller leur union. Finalement, elle ne se sent pas à sa place ici. Elle ne veut pas perdre ses libertés en devenant la femme de Tamlin. Intérieurement, elle appelle au secours, demande qu’on vienne l’aider. Grâce aux tatouages que Rhysand a gravés sur ses bras, c’est comme s’il y avait un lien entre eux. Est-ce qu’il l’a entendue ? Certainement, puisqu’il débarque à son tour et l’appelle « Feyre chérie » (ahhh enfin ! Ça va peut-être devenir un peu plus dynamique).

Devant l’accord passé, Tamlin ne peut rien faire. Il laisse donc son ennemi emmener sa future femme dans la Cour de la Nuit. Rhysand la ramènera dans une semaine.

Grâce au lien qui les unit, Rhysand connaît mieux Feyre que Tamlin. 
Ici, elle n’est pas prisonnière. Elle est son invitée. Elle peut se balader comme bon lui semble sur son territoire, personne ne lui fera de mal ou ne pensera du mal d’elle.

Rho moi j’aime bien Rhysand. Je le préfère même à Tamlin.

Au petit déjeuner le lendemain, il apprend à Feyre qu’il veut qu’elle apprenne à lire (c’est vrai que ça lui a fait défaut lors des épreuves d’Amarantha…). Il aimerait également l’aider à renforcer ses défenses mentales. Évidemment, comme dans le premier tome, dès qu’on veut l’aider, Feyre se braque…
Durant le petit déjeuner, on fait la connaissance de Morrigan, la cousine de Rhys. Eh bien, je la trouve sympathique 🙂 J’ai hâte de la connaître un peu plus.

La première leçon de Feyre commence (elle reconnaît quand même que les arguments du Grand Seigneur de la Cour de la Nuit sont justes).
Mine de rien, en une journée elle a déjà pas mal progressé, aussi bien dans l’écriture que dans son contrôle mental (elle arrive à dresser des barrières pour empêcher Rhys d’entrer dans sa tête (même si, avec un peu d’effort, il pourrait les franchir)).

Après la leçon, il l’emmène dans une autre pièce où se trouvent des cartes du monde. Il lui apprend alors que la guerre est imminente.
Le roi d’Hybern veut conquérir toutes les terres, celles des immortels comme celles des mortels. Selon Rhysand, ils sont le seul rempart pour empêcher sa flotte d’accoster sur le continent. Il a combattu pendant la guerre et refuse de revoir de tels massacres se reproduire.
Rhysand a besoin de Feyre afin de savoir si Tamlin, qui possède une armée et des liens avec Hybern, serait d’accord pour être leurs alliés et user ses liens avec le roi à leur avantage. Il veut également qu’elle partage avec lui son savoir faire en termes de chasse. Ça pourrait leur être utile. Et puis, il y a aussi les pouvoirs de la jeune femme. Rhysand émet l’hypothèse que, étant donné qu’elle est devenue Immortelle grâce à l’essence des septs Grands Seigneurs, il se pourrait qu’elle ait hérité de chacun de leur pouvoir. Elle serait bien plus puissante que chacun d’eux si c’était le cas.

Bon sang, je trouve Rhysand tellement plus sincère que Tamlin… À moins que ça ne soit que du paraître pour gagner la confiance de Feyre ?

Pour bien faire comprendre à Feyre qu’elle ne doit pas être qu’un pion et qu’elle doit apprendre à maîtriser ses pouvoirs, il lui parle de sa famille. Si elle veut pouvoir protéger et sauver les mortels, elle doit se transformer en arme.

Une semaine est passée. À peine de retour chez elle, Tamlin lui pose plein de questions sur Rhysand, plutôt que de fêter leur retrouvailles… (sympa hein… elle semble lui avoir beaucoup manqué…).
Mais bon sang Feyre ! Ne sois pas stupide ! Pourquoi tu crois que Tamlin veut tout savoir de ce que tu as vu ? Pour attaquer la Cour de la Nuit bien sûr ! Une part de moi est même persuadée qu’il est de mèche avec le roi d’Hybern.

Une semaine plus tard, c’est le jour du Tithe. Pour faire simple, c’est le jour où Tamlin reçoit ses sujets pour récolter des impôts.
C’est assez compliqué à gérer pour Feyre, surtout quand une nymphe ne peut pas payer car il n’y a plus de poissons dans l’eau du lac. Au lieu de l’aider, Tamlin lui laisse trois jours pour payer son Tithe, sinon, elle devrait payer le double mois suivant. La jeune femme suit la nymphe quand elle quitte le palais et lui donne ses propres bijoux pour s’acquitter de sa dette. Ça ne plaît évidemment pas à Tamlin et il le lui fait comprendre au dîner. Feyre se met en colère et se rend compte qu’elle a réussi à entrer dans l’esprit de Lucien. Oh… Un des pouvoir du Grand Seigneur de la Cour de la Nuit :p

Les jours passent et se ressemblent. Même si Tamlin donne un peu plus de liberté à Feyre, elle se sent toujours comme prisonnière. Alors, quand Rhysand vient la chercher, c’est avec envie qu’elle le suit, impatiente de retrouver le calme et la sérénité de la Cour de la Nuit.
Bah dis donc, c’est le seul qui se rend compte qu’elle nous fait une grosse déprime là. Rhys s’inquiète. Il ne ressent plus aucune émotion d’elle à travers leur lien. Comme si elle n’était plus qu’une coquille vide, l’ombre d’elle-même.

À son retour, Tamlin rejoue le même manège : il lui demande de lui raconter tout ce qu’elle a vu et entendu à la Cour de la Nuit. Et elle obéit…
Le lendemain matin, fini les libertés pour Feyre : son escorte est de nouveau au complet.

Mais bon sang, quand va-t-elle ouvrir les yeux ?

Quand Lucien suggère à Tamlin de laisser Feyre s’entraîner, ce dernier se braque et refuse. Je suis sûre qu’Ianthe le manipule aussi, en lui faisant croire que Rhysand va refuser de la rendre un jour. Elle émet l’idée que les Grands Seigneurs pourraient enlever Feyre à des fins de reproduction : ses enfants pourraient avoir les mêmes pouvoirs qu’elle.

Rho la vache ! Maintenant, Tamlin dresse même une barrière autour de la résidence pour l’empêcher de sortir, et il congédie tous les domestiques. Il ne reste que les sentinelles sur le domaine 😮
C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Ce mur invisible donne l’impression à Feyre d’être de nouveau prisonnière, comme Sous la Montagne. Elle panique. C’est Morrigan qui vient à son secours : Rhysand a brisé d’un claquement de doigt la barrière de Tamlin. Elle et son Grand Seigneur emmène la jeune femme dans la Cour de la Nuit.

À son réveil, Feyre est consciente que la Cour de la Nuit est son seul refuge. Rhysand lui affirme qu’elle peut rester ici aussi longtemps qu’elle le désire, même pour toujours. Si elle veut rentrer, il lui suffira de le demander et il la raccompagnera.

Wah ! C’était vraiment la goutte d’eau ! Rhysand doit repartir pour des affaires dans une autre région. Feyre ne voulant pas rester seule, elle lui demande de l’emmener. Rhysand accepte à une condition : elle ne doit pas raconter ce qu’elle a vu, entendu ou les personnes qu’elle a croisé à une personne étrangère à la cour. Elle accepte et ils partent tous les deux pour Velaris, la cité des Étoiles.

Oh mais attends ! Il l’a emmené chez lui ? Ah bah oui 🙂 Il lui dit qu’elle est en sécurité ici, tout comme dans la ville où elle peut se balader librement. Dans sa demeure, il n’y a que sa famille (donc uniquement Morrigan), lui et les deux servantes à la disposition de Feyre : Cerridwen et Nuala.

Cet endroit semble l’apaiser. Elle qui fait des cauchemars à chaque fois qu’elle s’endort, elle a su se reposer pour de vrai durant quatre heures.
Ils partent ensuite visiter la ville qui est immense et magnifique. Personne ne connaît son existence. Voilà pourquoi elle est restée protéger d’Amarantha.
Le soir venu, Rhysand présente Feyre à Amren, son second, ainsi qu’à Cassian, le commandant des armées, et Azriel, son maître-espion. On apprend que Mor est son commandant en troisième. Deux femmes au sommet de la hiérarchie du cercle de la Cour :p (j’ai déjà dit que j’appréciais Rhysand ? =)).
Amren est hyper intéressante. Tout comme Feyre, elle n’est pas née dans le corps qu’elle habite maintenant. Elle a subi une transformation (on ne sait pas en quoi). Elle nous apprend qu’il existe une femme nommée Myriam, qui, tout comme Feyre, a reçu de l’essence des Grands Seigneurs. Cependant, son corps ne s’est pas transformé, elle est juste immortelle alors que Feyre a une âme humaine dans un corps d’immortelle.

Autour de la table, à part Morrigan, aucun d’eux n’est un Grand Fae. Cassian et Azriel sont des Illyriens et Rhysand est considéré comme un bâtard : mi Grand Fae mi Illyriens. Les Illyriens sont considérés comme l’armée de la Cour de la Nuit ou comme des mercenaires.

Ce dîner est hyper intéressant, déjà parce que Feyre est traitée comme une amie de Rhysand, et pas comme une hybride ou la sauveuse de Prythian, et ensuite parce qu’on apprend énormément de choses sur les Illyriens et sur le passé de Rhysand. La jeunesse de ce dernier n’est pas rose du tout (tout comme la vie de Cassian et Azriel d’ailleurs…). Les enfants Illyriens sont traités comme des machines de guerre à entraîner et dompter…
Les 3 hommes racontent à Feyre comment ils se sont rencontrés, ont grandi ensemble et on était séparé durant la guerre pour se retrouver ensuite.

Y a un truc entre Azriel et Morrigan ? 😛

Feyre leur raconte à son tour son histoire. Cassian se propose pour devenir son maître d’arme et lui apprendre à se battre.

Je ne sais pas toi, mais je trouve qu’ici, les gens sont carrément moins hypocrites que du côté de Tamlin et je trouve qu’ils sont un peu tous sur un pied d’égalité. Feyre a nettement plus sa place dans la Cour des Rêves que dans la Cour du Printemps.

En tout cas, Rhysand a bien fait de présenter ses seconds à Feyre. Elle accepte de l’aider à combattre Hybern. C’est tant mieux parce que l’entraînement commencera dès le lendemain. Rhys pense que le roi va ressusciter Jurian, un guerrier qui avait été emprisonné dans une bague par Amarantha pour avoir tué sa sœur.
Afin de savoir comment le roi s’y prendra, Feyre va devoir rencontrer le Graveur d’os, à la Prison.

Oh bon sang… Ce lien entre Rhysand et Feyre, est-ce que ça pourrait être le même genre de lien qui unit deux Immortels destinés l’un à l’autre ?

Rhysand et Feyre se rendent à la prison pour rencontrer le Graveur d’os. Celui-ci est prêt à répondre aux questions de Feyre si elle lui parle de sa mort.
J’ai l’impression que c’est son lien avec Rhys qui lui a permis de revenir à la vie (en plus de l’essence des Grands Seigneurs). C’est ce fil, ce lien qu’elle a suivi pour regagner son corps.
Selon le Graveur d’Os, une personne pourrait être ramenée à la vie si un fragment d’os lui appartenant et son âme étaient utilisés avec le Chaudron. Mais l’objet est trop dangereux ; il a été caché. Les 3 pieds de ce Chaudron ont également été arrachés et cachés dans trois temples différents. Voilà pourquoi le roi les pille ! Il cherche à reconstituer l’artefact !

Eh bien… Feyre est maligne. Elle sait que le Graveur d’Os leur fait des révélations si elle en fait également. Alors elle se dévoile petit à petit (et je pense que Rhysand découvre des choses à son sujet concernant ce qu’il s’est passé avec Amarantha).
Grâce à ce stratagème, on apprend que celui qui possède le Chaudron, pourra, en plus de ressusciter les morts, détruire le Mur.
Apparemment, il existe un livre, le Livre des Sorts, qui contient des incantations pour annihiler ou utiliser les pouvoirs du Chaudron. Cependant, ce livre ne peut être utilisé que par une créature créée de toute pièce, comme Feyre… Eh bien, le Graveur d’Os est bavard. Il leur révèle même où se trouvent les deux moitiés du livre (au Royaume d’Été et dans un palais en bord de mer dans le Royaume des Mortels).

Pour connaître l’étendu des pouvoirs de Feyre et savoir si elle sera en mesure de récupérer les moitié de Livre, Rhysand lui donne une seconde épreuve. Elle va devoir s’introduire chez une créature aveugle et redoutable, la Tisserande, pour récupérer un objet qu’elle a volé à Rhys il y a un moment.
La vache, je le sens mal… Même Cassian a tenté de dissuader Rhysand d’emmener Feyre dans la forêt où vit la Tisserande.

C’est une bague que Feyre récupère. Une bague baignée de la signature de Rhysand. Cependant, quand elle la saisit, la Tisserande la prend en chasse. Quand la porte se referme devant elle, Feyre met le feu aux étagères et file dans le conduit de cheminée (oui… pas brillante comme idée…). Mais au fur et à mesure de sa progression, c’est comme si le conduit rétrécissait. Feyre se retrouve finalement coincée. La jeune femme frappe alors le mur de briques plusieurs fois. Quand l’une d’elle tombe dans sa main, elle la lance sur la Tisserande qui grimpait à son tour dans le conduit. Finalement, elle arrive à fuir.

En plus de permettre à Rhysand de récupérer une bague léguée par sa mère, cette épreuve a permis à Feyre de ne pas céder à la panique et c’est ce qui l’a sauvée. A présent, elle veut s’entraîner au combat et Rhys veut qu’elle apprenne à maîtriser ses pouvoirs. Ils partagent d’ailleurs avec elle une des capacités des daemati : il lui montre un de ses souvenirs avec Ianthe. Celle-ci lui faisait du rentre devant. Comme je le pensais, elle est avide de pouvoir et ne pense qu’à ses propres intérêts.

Cassian, Azriel, Rhysand et Feyre se rendent au pays des Mortels afin de rencontrer les reines qui possèdent la moitié du Livre.
Ils se rendent dans la demeure de la famille de Feyre où se tiendront les réunions entre les mortels et les reines.
Même si Elain semble heureuse de revoir sa sœur, Nesta ne l’est pas du tout, d’autant plus qu’elle a les Fae en horreur et qu’à présent, sa sœur est l’une des leurs. Heureusement pour Feyre, ces trois compagnons de voyage sont là pour prendre sa défense (j’ai même l’impression que Cassian en fait une affaire personnelle).

Je rêve ou une complicité naît petit à petit entre Rhysand et Feyre ? J’aime leur lien, leur relation. Je suis persuadée qu’ils vont finir par aller plus loin.

Alors que Feyre s’entraînait seule dans la forêt, l’attor, qui avait disparu peu de temps avant la mort d’Amarantha, réapparaît pour l’enlever. Ordre du roi d’Hybern. Heureusement, Rhys veille et vient la protéger avec Azriel. Il provoque ensuite la jeune femme pour faire ressortir ses pouvoirs. Même si elle ne les maîtrise pas du tout, elle a l’air puissante. Avec de l’entrainement, elle finira par devenir redoutable.

La torture de l’attor a révélé que le roi Hybern veut Feyre et que son armée, impressionnante, est déjà en route. Rho… Est-ce que tout recommence comme cinq siècles plus tôt ?

De retour à la Cour des Rêves, ils s’autorisent tous les six une soirée en ville et dînent ensemble dans une auberge.
Une fois le ventre bien plein, Mor, Cassian et Ezriel vont danser, Amren repart avec une bouteille de sang, Feyre et Rhysand marchent le long du fleuve et bavardent. Y a un rapprochement entre eux, non ? Oui j’ai envie de les voir ensemble 😁

Pop pop pop…. Y a pas de téléphone portable mais grâce à la magie de Rhysand, ils s’échangent ce que je vais appeler des sextos :p

En fait, même Sous la Montagne, Rhysand veillait sur elle, malgré les risques qu’il encourait.

Le lendemain matin, c’est le premier jour d’entraînement de Feyre par Cassian, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il ne prend pas de gants 🙂
Cassian lui demande pourquoi elle a écrit à Tamlin qu’elle était partie pour de bon. Feyre refuse de lui répondre, mais elle met toute sa rancœur, sa rage et sa colère dans les coups de poings qu’elle donne dans le coussin que tient l’Illyrien. Elle finit par lâcher ce qu’elle a sur le cœur : la culpabilité d’avoir tué deux innocents et le fait qu’elle aurait dû être à leur place. Une fois encore, le Grand Seigneur de la Cour de la Nuit se montre attentionné envers elle et tente de l’apaiser. Il lui apprend d’ailleurs que, lui aussi, culpabilise de ne pas avoir su la protéger d’Amarantha et que, depuis, il en fait des cauchemars : il entend sa nuque se briser et voit la lumière disparaître des yeux de Feyre. Est-ce que le lien qui unit deux Immortels peut déjà exister entre elle et Rhysand ?

Cinq jours plus tard, Feyre, Amren et Rhysand partent pour la Cour d’Été, à Adriata, sa capitale.

Avec le « don » que chaque Grand Seigneur lui a fait, Feyre est comme « connectée » à chacun d’eux.

Feyre essaie de se rapprocher de Tarquin afin d’avoir des informations sur le Livre. Mais celui-ci est méfiant et demande quel est le rôle de Feyre au sein de la Cour de Rhysand. Ce dernier affirme qu’elle est l’une de ses plus proches conseillers et que c’est l’émissaire de sa cour auprès du royaume des mortels.
Eh bah… Je ne fais pas confiance à la princesse Cresseida. Elle sous-entend que, comme Feyre était fiancée à Tamlin, elle lui appartient et il pourrait exiger du roi Tarquin de la renvoyer à la Cour du Printemps. Si le roi refuse, Tamlin pourrait entrer en guerre contre lui…
Néanmoins, Rhysand les prévient que ça risque de mal se passer si n’importe qui ose ramener Feyre auprès de Tamlin. le ton est donné =)

La mission de Feyre va être plus compliquée que prévue parce que Tarquin semble être quelqu’un de sincère et de bien :/

Feyre est jalouse : Rhysand et Cresseida passent la soirée à discuter et semblent plutôt proches et tactiles.
Elle passe alors le reste de la soirée seule, sur le pont supérieur du bateau sur lequel la fête en leur honneur était donnée. Une fois de retour sur terre, Rhys et la princesse ont disparu…
Étant donné qu’elle a sous entendu qu’elle mettrait Tarquin dans son lit pour mener à bien sa mission, Rhysand est peut-être jaloux lui aussi et c’est sa vengeance ? En tout cas, Feyre se montre aguicheuse avec Tarquin, ce qui semble agacer Rhys.

Le Grand Seigneur de la Cour de l’Été a confiance en Feyre. Il lui dit même qu’il aimerait qu’elle soit une alliée pour sa cour qui, après ce qu’elle a vécu avec Amarantha, ne désire que la paix et la sécurité. Peut-être qu’elle va pouvoir clairement lui demander le Livre alors ? Est-ce qu’elle peut lui faire confiance ?

Trois jours passent à la Cour de l’Été. En flânant dans la ville (à la recherche d’un signe du Livre), Feyre prend conscience de ce qu’elle a fait : certes elle a commis des actes atroces, mais grâce à elle, les gens sont libres. Certains ont terriblement souffert, mais grâce à elle, ils sont sauvés. Je pense que le processus va être long mais elle finira par remonter la pente 🙂

Eh bien ! Feyre commence à bien maîtriser les pouvoirs que lui a légué Rhys. Elle entre avec facilité dans la tête de Tarquin, traverse sa barrière mentale et dépose, ni vue ni connue, de nouvelles pensées à son sujet. Elle a découvert un temple uniquement visible à marée basse. Elle sait que c’est là que se trouve le Livre. Au vue de la réaction de Tarquin et de Cresseida, il est peu probable qu’ils acceptent de lui remettre le Livre de leur plein gré. Alors, Amren, Rhysand et Feyre établissent un plan pour s’y rendre le lendemain, au milieu de la nuit.

Purée j’angoisse… Le Livre est vraiment bien caché et il faut être fou ou inconscient pour oser s’aventurer là où il se trouve… Si Amren et Feyre trainent trop, elles vont se faire piéger par la marée montante.
Quand Feyre s’empare de la boîte de plomb contenant le Livre, la chambre dans laquelle elles se trouvent se referme. Les deux femmes sont prises au piège et la marée remonte déjà, comme en réponse à cette intrusion.
Malgré toute la puissance d’Amren, elles n’arrivent pas à les sauver. Heureusement, des nymphes viennent s’acquitter de la dette de leurs soeurs et sortent les jeunes femmes du temple. Feyre et Amren trouvent refuge dans une crique. La vache ! Que c’était angoissant. Mais au moins, ils ont cette moitié du Livre (même si tout le monde sait qu’ils l’ont volé…).
Le livre est confié à Amren qui est la seule à être capable de le lire. Rhysand pense même qu’il serait capable de la libérer de son enveloppe charnelle afin qu’elle puisse retrouver les siens.

Tarquin a mis leur tête à prix pour l’affront qu’ils leur ont fait. A présent, Rhys, Amren et Feyre sont leurs ennemis.

Un lien fort commence à se tisser entre Rhysand et Feyre. J’ai hâte qu’ils se laissent aller et s’abandonnent l’un à l’autre.
En plus de réussir à lui changer les idées quand il broie du noir (et d’après ses proches, c’est pas évident), Feyre arrive à apaiser Rhys quand il fait un cauchemar. D’ailleurs, on dirait même que ses ténèbres viennent chercher la jeune femme par l’intermédiaire de leur lien.

Les reines des mortels finissent pas accepter de rencontrer Rhysand et son groupe. Quel étonnement quand les cinq femmes arrivent grâce au don de tamisage 😮
Eh bien, pardonne moi l’expression, mais ce sont de sacrées co**asses égoïstes. Elles ne veulent rien entendre. Il faut dire que personne ne connaît l’existence de Velaris et la réputation « publique » de Rhysand n’est pas ouf. Bref. Elles réfléchiront au fait de leur céder leur moitié de Livre quand Rhys leur aura apporté la preuve qu’il est un homme de paix.

Rhysand a une idée : il existe un globe que la famille de Mor possède et qui permet de montrer quelque chose, en affirmant que c’est la vérité. Il va s’en servir pour prouver l’existence de Velaris. Ils se rendent donc à la Cour des Cauchemars, mais, en chemin, ils se font attaquer par une pluie de flèche en frêne (on cherche à tuer des Immortels). Impossible de savoir néanmoins qui sont les auteurs de cet assaut : ils n’ont laissé aucune trace…

Morrigan et Feyre sont les premières à franchir le portail de la montagne et à atteindre la cité de Pierre, ville qui a « inspiré » Amarantha pour réaliser Sous la Montagne. Autant dire que le lieu rappelle de mauvais souvenirs à Feyre.
Là-bas, Rhysand va devoir endosser le rôle public que tout le monde connaît : celui du Grand Seigneur le plus redoutable et craint du monde. Il demande à Feyre de jouer un rôle (tout en ayant peur de ce qu’elle va voir de lui) : elle devra faire comme si elle était la putain du Grand Seigneur du Royaume de la Nuit.
Oulala… Je sais que c’est un rôle, une mise en scène, mais… mais c’est un jeu dangereux non ? Feyre n’est pas insensible aux caresses de Rhysand et je ne suis pas certaine qu’ils se forcent beaucoup pour entrer dans leurs personnages. What ?! Keir, le père de Morrigan, parle de Feyre comme l’animal de compagnie de Tamlin (tsss) et affirme que des rumeurs circulent à son sujet : il paraît qu’elle a un nouveau maître, et, avec ce qu’il a sous les yeux, ça semble se confirmer. (La vache… c’est tellement dégradant pour la jeune femme…).
Tout ça est pourtant nécessaire pour faire diversion le temps qu’Azriel récupère le globe.
Leur plan a fonctionné, mais je ne suis pas certaine que tout ça ne sera pas sans conséquence sur leur future relation (ne m’en déplaise :p ).

Feyre a été blessante avec Rhysand, sans raison… Elle l’a profondément blessé. Il l’ignore à présent et voilà deux jours qu’elle ne l’a pas vu et qu’il ne répond à aucun de ses messages. Pourtant, elle a enfin ouvert les yeux sur ses sentiments envers lui. Est-ce qu’il est trop tard ?

Ohhhh en fait, il l’a évité parce qu’il avait peur qu’elle ne l’envoie promener.  Est-ce que, lors de la Pluie d’Étoiles, ils ne se seraient pas avoué, sans vraiment le dire, les sentiments qu’ils éprouvent l’un pour l’autre ? 🙂 Chacun d’eux a su combler le vide chez l’autre et leur redonner goût à la vie.

Le lendemain, le Grand Seigneur, Cassian, Morrigan et Feyre se rendent sur un camp de guerre Illyrien où ils installent leur quartier en attendant d’être contactés par les reines du royaume des mortels.

Tamlin cache bien son jeu… Il est cruel. Autrefois, il était ami avec Rhysand. Mais cette amitié dérangeait. Alors son père, ses frère et lui-même s’en sont pris à la mère et la sœur de Rhysand, en les décapitant et en gardant leurs ailes comme trophée. Et dire que Tamlin dit juste que c’est Rhysand qui a tué sa famille. Juste retour des choses non ?
Quand le père de Rhys a appris ce que la famille de Tamlin avait fait, ils se sont rendus chez eux et ont tué tout le monde. Rhysand a voulu éviter que son père ne tue Tamlin, mais ce dernier a attaqué avant. Quand ils ont tous les deux hérités leur pouvoirs de Grands Seigneurs, Rhysand est parti.

Rhys et Feyre s’éloignent du campement pour qu’elle puisse s’entraîner sans danger avec ses pouvoirs. Ils se font néanmoins surprendre par cinq Sentinelles de la Cour du Printemps, dont Lucien. Mais Feyre n’est plus la petite mortelle fragile qu’ils ont connue. Elle s’oppose à eux, les menace, et leur montre une partie de ses pouvoirs. Lucien lui apprend qui a besoin d’elle, que Tamlin et Ianthe sont devenus incontrôlables. Feyre ne veut pas y retrouver. Elle campe sur ses positions. Avant de partir, Lucien met en garde Rhysand : il vient de signer son arrêt de mort et celle de sa cour.

Ce soir-là, ils partagent le même lit dans une auberge. Rhysand s’occupe de la distraire et lui parle de tout ce qu’il aimerait lui faire 🙂

Le lendemain, après une journée d’entraînement, quand ils s’envolent, ils sont de nouveau la cible de flèches en frêne empoisonnées. Rhysand est blessé, grièvement. Il lance Feyre pour la protéger des flèches et les voilà séparés, en pleine nuit, dans une forêt. Feyre ne ressent plus le Grand Seigneur à travers leur lien.
Quand elle finit par flairer sa trace, elle remarque qu’il a été traîné ailleurs et qu’on a tenté de dissimuler son passage.

Rho bon sang. Quand elle le retrouve, c’est un bain de sang. Et lui, il est vraiment mal en point. Faible, privé de magie, et ses ailes sont mutilées, couvertes de flèches empoisonnées. Est-ce que Feyre peut le guérir ?
Bon j’ai quand même l’impression que, malgré les flèches en frêne empoisonnées, il arrive à guérir quand on les enlève. C’est ce que Feyre se charge de faire avec celles dans ses ailes.
Elle l’a sauvé. Pour détourner son attention, elle lui a parlé de sa vie d’avant. À l’écouter, c’est comme si, une partie d’elle savait que sa place était au sein de la Cour de la Nuit, qu’elle cherchait Rhysand depuis toujours. Et il lui avoue, avant de s’évanouir, que lui aussi la cherchait depuis longtemps.

Le lendemain à l’aube, Rhysand est toujours inconscient et fiévreux. Les archers d’Hybern qui ont mené l’embuscade ont réussi leur coup (même si au vu des chaînes qu’ils possédaient, ils avaient certainement l’intention de l’emmener à leur roi). Le poison a envahi le corps du Grand Seigneur.
L’état de Rhysand ne s’améliore pas. Feyre part donc en forêt dans le but de chopper un suriel. La créature lui apprend alors que son sang peut sauver Rhysand (apparemment, c’est le don du Seigneur du Royaume de l’Aube) et il lui dit aussi que Rhysand est celui qui lui est destiné (moi contente). J’ai l’impression que ce lien existait déjà alors que Feyre n’était même pas encore immortelle. C’est possible ? Ah bah oui, il l’avait ressenti avant, mais ça s’est confirmé et renforcé quand Amarantha l’a tuée et qu’elle est revenue. Rho mince alors. Même Mor et Amren le savent, et Cassian et Azriel s’en doutent. Rho non… Il va perdre la confiance de Feyre… Ça fait six mois qu’il le sait et il ne lui a rien dit. En tout cas, elle l’a de nouveau sauvé et, comme elle le lui demande, il la ramène au camp. Cette révélation a de nouveau brisé quelque chose en Feyre 🙁

De retour au camp, elle laisse Rhys et demande à Mor de l’emmener ailleurs. C’est ce que la Fae fait. Feyre se retrouve donc dans une cabane appartenant à la famille de Morrigan. Elle demande à celle-ci de ne pas révéler à Rhysand où elle se trouve et de lui dire qu’elle veut être seule, pour le moment. Rho… J’ai mal au coeur pour eux deux.

Le lendemain, Feyre s’ennuie déjà et, après avoir trouvé de la peinture et des pinceaux dans le débarras, elle redécore tout le salon. Depuis Amarantha, elle n’avait pas peint et n’en ressentait plus l’envie. Et là, ça lui fait du bien.
La nuit suivante, Morrigan vient prendre de ses nouvelles et lui suggère de laisser une chance à Rhysand de s’expliquer.

Cinq jours passent. Feyre a repeint toutes les pièces de la cabane. Le soir de ce cinquième jour, c’est Rhysand qui frappe à la porte. Il lui raconte alors toute son histoire.
Il a ressenti pour la première fois leur lien il y a trois ans, à travers des rêves. C’est grâce à ceux-ci qu’il l’a retrouvé pour la première fois à la Cour du Printemps lors de la Nuit du Feu.
Toute son histoire… il… fiou je ne sais même pas quoi dire… Feyre se rend à présent compte de tout, de tout ce qu’il ressent pour elle, de tout ce qu’il a fait pour elle. C’est plus que de l’amour qu’il ressent pour elle et Feyre éprouve la même chose. Elle accepte leur lien d’amour. La nuit qui s’ensuit n’est pas reposante, mais pleine de plaisirs charnels.

Quelques jours plus tard, les deux Illyriens, Mor et le jeune couple retournent au Royaume des Mortelles avec la Veritas.
L’une des reines leur remet la moitié du livre en douce, dans le dos des autres qui semblent… corrompues ?
Rhysand propose à Nesta et Elain de les suivre à Velaris, mais la cadette ne peut pas : elle est fiancée. Alors, le Grand Seigneur du Royaume de la Nuit enverra des sentinelles pour les protéger.
J’ai l’impression que le blocage que fait Nesta envers les Fae changent. Peut-être à cause de Cassian ou du lien qui unit sa sœur et Rhysand ?

Trois jours plus tard, Velaris est attaquée alors que personne n’est censée connaître son existence (comme par hasard, les reines l’ont vu). Rhysand et Morrigan ne sont pas là, ils sont à la Cour des Cauchemars. Cassian protège Feyre qui est prête à se battre pour protéger son foyer.
Le corps mutilé de la reine qui les a aidés est jeté à leurs pieds et des soldats d’Hybern se déploient dans la ville.

Azriel et Cassian se battent côte à côte. Amren est très puissante et tient en respect une légion à elle seule et Feyre n’est pas en reste non plus. Ils arrivent à protéger la ville, même si beaucoup trop de sang a coulé.
L’un des attors quitte Valeris par le ciel sans que personne à part Feyre ne l’ai repéré. Elle se tamise alors et se lance à sa poursuite, le traquant comme on chasse une proie. Et elle le massacre. Ses heures d’entraînement ont vraiment fini par payer. Elle se débrouille vachement bien avec ses nouveaux dons.

Durant la nuit, Rhysand annonce que Velaris est de nouveau en sécurité et que les défenses qui avaient été détruites par le Chaudron ont été reconstruites.
Mine de rien, c’est un message fort qu’ils ont envoyé à Hybern : aucun des attors et aucun des soldats n’est ressorti vivant de la Cour des Rêves.

Dans l’après-midi, Amren réussit à déchiffrer le Livre. Elle leur explique comment détruire le Chaudron. Cassian et Azriel ont un plan. Le lendemain matin, ils partent tous pour Hybern. Amren protégera la ville en leur absence (je t’ai dit qu’elle était puissante).

Rhysand reste à proximité d’Hybern et laisse ses compagnons et son âme sœur entrer dans le bâtiment. Ils trouvent rapidement le Chaudron et le pouvoir de celui-ci attire Feyre qui perd possession de son corps. Elle associe les deux moitié du livre et l’artefact libère tout son pouvoir. Ils sont ensuite attaqués par Jurian.
Ayant senti le danger, Rhysand apparaît entre Jurian et Feyre et saisit le Livre des mains de cette dernière.
Le groupe est pris au piège et leurs pouvoirs sont bloqués. 

Rolala… Cette fin de livre va être stressante, je le sens 🙁

Jurien décoche une flèche en frêne imbibée de sang venin en plein dans la poitrine d’Azriel. Ils sont forcés d’obéir.

Rho bon sang ! Lucien et Tamlin sont dans la salle du trône ! Ils sont de mèches avec Hybern… Tout ça pour récupérer Feyre ?

Tamlin a négocié avec le roi. Ce dernier lui remet Feyre, et en échange, le Grand Seigneur de la Cour du Printemps le laisse envahir ses terres et y faire son camp de base pendant que ses hommes abattent le mur.

Ce roi est une belle pourriture, tout comme Tamlin. D’ailleurs, ce dernier ordonne à Feyre de le suivre, ce qu’elle refuse, et il est fou de rage quand il comprend qu’elle et Rhysand sont destinés l’un à l’autre.
Pour la faire plier, le roi fait entrer les quatres reines mortelles restantes qui sont de mèches avec lui. Elles amènent Nesta et Elain… C’est Ianthe qui a suggéré au roi d’utiliser les sœurs de Feyre pour les transformer en Fae grâce au Chaudron (d’ailleurs, c’est cette nouvelle vie qu’il a promis aux reines pour leur collaboration).
Tamlin comprend alors que le roi les a manipulés, mais c’est trop tard. Elain est poussée dans le Chaudron, puis Nesta. Toutes deux deviennent des Fae. Lucien découvre alors que la cadette est son âme sœur.

Feyre tente un coup de poker. Elle libère sa magie lumineuse, détruit toutes les défenses du palais et fait comme si elle s’était libérée du pouvoir de Rhysand. Elle lui demande, par leur lien, de jouer le jeu et de mettre tout le monde en sécurité.
Oh non elle va loin là 😮 Elle demande au roi de briser son lien d’amour entre elle et Rhysand. Elle se sacrifie. Elle sacrifie leur amour…

Rhysand, Cassian, Azriel (qui est guéri), Mor et les deux sœurs de Feyre repartent à Valeris, pendant qu’elle repart avec Tamlin et Lucien à la cour du Printemps.

On termine le livre avec le point de vue de Rhysand.

Oh ! Le roi s’est planté ! Il a rompu leur marché, mais pas leur lien d’amour ! Rhysand a compris le plan de Feyre. Avec leur lien, elle est toujours connectée à lui et pourra donc jouer les espionnes auprès de Tamlin.

Wah mais que de révélations ! Feyre est également devenue la Grande Dame de la Nuit, son égale, sa reine.

Feyre quant à elle, arrive à la Cour du Printemps où elle commence à mettre son plan à exécution. Lucien semble avoir compris son jeu, mais pas Tamlin qui lui promet qu’ils vont repartir sur de nouvelle base.
Sans le savoir, il a laissé entrer dans la Cour du Printemps, la Grande Dame de la Cour de la Nuit… [fermer]