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Une putain d’histoire

/!\ Ce tome est le troisième de la saga. Dans la suite de cette chronique, il y a donc de forte chance pour que je parle de choses qui se sont passées dans les tomes précédents dont tu peux lire mes avis ici

Si tu n’as pas lu les tomes précédents ou si tu ne les as pas finis, ne poursuis pas la lecture de cet article 🙂

Couverture du livre Une putain d'histoire de Bernard Minier

Date de parution : Mai 2016

« Au commencement était la peur…  »

Hors des flots déchaînés, une main tendue vers le ciel. Un pont de bateau qui tangue, la pluie qui s’abat, et la nuit… Le début d’une ” putain d’histoire “.

Une histoire d’amour et de peur, de bruit et de fureur. L’histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l’enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu’au plus noir de ses secrets. Ou du moins le croit-on.

POURQUOI J'AI EU ENVIE DE LE LIRE ?

Ce livre a été présenté sur Entre2Livres. En ce moment, je suis attirée par les thrillers (mais rassure-toi, rien ne remplacera jamais la fantaisy dans mon coeur :p ). Deux personnes ont lu le livre et leur avis sont totalement différents. Du coup, j’ai envie de me faire ma propre opinion.

CE QUE J'EN AI PENSÉ

On commence avec une intro, je ne parlerai pas ici de prologue, non, c’est juste une introduction. A priori, c’est Henry qui va nous raconter un truc incroyable qui lui est arrivé (enfin, il ne nous le raconte pas mais le raconte à son père).
Je sens que la lecture va être fluide. Le langage est un langage courant et c’est écrit comme j’aime : à la première personne du singulier.

Au fil de ma lecture

En conclusion

Bon sang ! J’ai bien cru que jamais je n’arriverai au bout de ce livre (et même la relecture de mes notes me soulent, même si certaines de mes remarques ont été expliquées à la fin du livre…). Je n’ai du tout accroché à l’histoire, ni même au style d’écriture (cela dit, la fin te permet de mieux comprendre ce style).

On suit plusieurs personnages en même temps (parfois à des moments simultanés mais dans des lieux différents). Il y a des flashs-back et beaucoup trop de descriptions. Enfin… Pour ce dernier point, je pense que ça m’a dérangée parce que je ne suis pas entrée dans l’histoire. Si j’avais aimé, je suis certaine que j’aurais dit que c’était parfait parce qu’on se plonge mieux dans les scènes.

A un moment du livre, tu as un changement de rythme. Même là, je devais me forcer pour lire. Pour être honnête, il n’y a que les 50 dernières pages que je n’ai pas vu passer, et même le dénouement final ne m’a pas surprise, parce que j’avais fini par comprendre toute seule.

Ça faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé, mais ce livre a été une vraie plaie pour moi. Quand j’adore un bouquin/une saga, je suis capable de dévorer quasi 2000 pages en une semaine (comme ça a été le cas avec Little Shade). Mais là… Il m’a fallu 2 mois et demi pour lire à peine 400 pages… Cela dit, je me doutais dès le début que mon avis final ne serait pas bon. Quand on saute d’un personnage à l’autre, je n’arrive à m’attacher à personne. Et quand je ne m’attache à aucun personnage d’un livre, c’est que le livre ne me plait pas…

A l’heure où je rédige cette chronique, ce livre a reçu 2 avis sur Entre2Livre : un positif et un négatif (c’est d’ailleurs pour ça que je voulais me faire ma propre opinion).  Du coup, je pense qu’il n’y a pas de demie mesure avec cette histoire : soit tu accroches et tu aimes, soit tu détestes…

OÙ LE TROUVER ?

Le livre est disponible sur :

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